Les FrancoFolies de Montréal — le 18 juin 2016

19 juin 2016

Belle et chaude journée de clôture du festival.

Giedré

Aujourd’hui j’ai invité mon frère François à assister au spectacle de Giedré sur la scène de la zone Molson. Nous sommes arrivés vingt minutes à l’avance : il ne restait déjà plus que quatre sièges libres.

Le répertoire fantaisiste de cette chanteuse française m’a beaucoup plu la veille et j’avais le gout de partager ce plaisir avec mon frère. Il s’agit donc d’un cadeau qui ne m’a rien couté.

À 20h, nous avons effectué le circuit des trois spectacles concurrents, soit…

H’Sao

…le mariage musical du groupe montréalais d’origine tchadienne H’Sao sur la scène Hydro-Québec…

Rosie Valland

…celui de la ténébreuse Rosie Valland (ici superbement mise en valeur par les éclairagistes de la scène Loto-Québec)…

Gabriel Joseph

…pour terminer par le dernier des trois finalistes dans la catégorie Auteur-compositeur du concours Étoile montante Ford.

Puis nous nous sommes quittés, mon frère et moi, lui pour aller manger.

Jean-Louis Cormier, ses musiciens et ses chanteurs
David Goudreault

De 21h à 22h, j’ai alloué les quarante-cinq premières minutes au grand spectacle que Jean-Louis Cormier avait concocté pour les festivaliers.

Parmi ses invités, le poète, romancier et slameur québécois David Goudreault.

Sarahmée

Le dernier quart d’heure fut consacré à la Sénégalaise Sarahmée, au répertoire original, à la croisée du rap et du R&B.

À 22h, nouveau duo de spectacles.

Mehdi Cayenne

D’abord celui du Franco-Ontarien Mehdi Cayenne. Celui-ci possède la particularité d’être la seule vedette des FrancoFolies à avoir apporté à Montréal son propre décor de scène.

Laurence Nerbonne

Pendant ce temps, l’ex-soliste d’Hôtel Morphée, Laurence Nerbonne, présentait son répertoire solo plaisant sur la scène Loto-Québec.

La Smala

Puis, un peu après 23h, j’ai quitté le site du festival en croquant sur le vif les rappeurs belges de La Smala sur la scène La Presse+…

Les Goules

…et le groupe punk québécois Les Goules sur la scène Ford.

En résumé, cette 28e édition des FrancoFolies de Montréal — le plus important festival de musique francophone au monde — fut comme à son habitude; un moyen de découvrir de nouveaux talents et une belle occasion de réentendre des vedettes déjà consacrées que les organisateurs de l’évènement (et leurs commanditaires) ont choisi de nous présenter gratuitement.

On n’est pas obligé de tout aimer. Voilà pourquoi le festival fait alterner sur six scènes des propositions contrastées en nous laissant libres d’y trouver notre plaisir.

Merci donc aux organisateurs de l’événement et aux bénévoles qui rendent un tel festival possible.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 150 mm
  2e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
  3e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 125 mm
  4e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 150 mm
  5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
  6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 150 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 150 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 40 mm
  9e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 150 mm
10e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 40 mm
11e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 40 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

2 commentaires

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , , , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Les FrancoFolies de Montréal — le 17 juin 2016

18 juin 2016

À mon arrivée sur le site, mon intention était de partir à la découverte des trois spectacles présentés simultanément de 19h à 20h, soit Giedré, Andie Duquette et Élie et Papillon.

Giedré

Mais j’ai commis l’erreur de débuter par Giedré.

Empruntant cette petite voix haute perchée à laquelle ont recours les comédiennes pour incarner une femme sotte, cette humoriste débite des énormités qui manquent totalement de rectitude politique. Le tout sur une musique mélodieuse comme s’il s’agissait d’une innocente comptine. Le résultat est d’une drôlerie irrésistible.

Bref, j’ai été incapable de quitter ce spectacle. Mes excuses donc à Andie Duquette et Élie et Papillon que je n’ai pas vus.

Comme d’habitude, à 20h, les festivaliers étaient sollicités par trois autres spectacles concurrents.

Bertrand Belin

D’abord le ténébreux Bertrand Belin, au timbre viril de baryton-basse, présentait son dernier opus, Cap Waller sur la scène Loto-Québec…

Labess

…alors que sur un registre ensoleillé, Labess rappelle l’Andalousie et le Maghreb par le rythme de ses mélodies déployées sur la scène Hydro-Québec…

Philippe Brach

…et que Philippe Brach, révélation 2015 de l’ADISQ, présentait son deuxième album, Portraits de famine, sur la scène Ford.

Galaxie et Marie-Pierre Arthur
Olivier Langevin, âme de Galaxie
Marie-Pierre Arthur

À 21h, le grand concert de la soirée réunissait le rock-électro puissant de Galaxie en alternance avec le folk-rock tout aussi séduisant de Marie-Pierre Arthur. Bref, un excellent spectacle que j’ai quitté quinze minutes avant la fin pour…

La Smala

…faire connaissance avec les rappeurs du groupe belge La Smala sur la scène Loto-Québec.

À 22h, deux autres concerts simultanés.

Jérôme Dupuis-Cloutier

Sur la scène SiriusXM, Jérôme Dupuis-Cloutier, accompagné d’un guitariste et d’un batteur, présentait son dernier disque Le Spectacle

Bagarre

…pendant que les membres du groupe Bagarre — tous en survêtements d’un même fabriquant d’articles de sport — présentaient leur musique dansante sur la scène Loto-Québec.

Mohamed Sylla, alias MHD

Plus tôt dans la soirée, deux policiers m’ont appris que leur présence, à l’issue du concert d’hier de MHD, avait été nécessaire pour permettre l’évacuation non pas du rappeur (contrairement à ce j’ai écrit), mais plutôt de Didier Drogba, joueur étoile de l’équipe de soccer L’Impact de Montréal (que MHD avait eu l’idée d’inviter sur scène).

Mais puisque l’engouement de très nombreux jeunes d’ici pour le rappeur parisien de 22 ans dépasse l’anecdote de cet invité-surprise, j’ai assisté à la première moitié de son spectacle afin de comprendre sa popularité. Je n’y suis pas parvenu mais l’expérience fut plaisante.

B.A.R.F.

J’ai quitté les lieux vers 23h40, non sans avoir pris une photo du trio heavy-métal B.A.R.F. sur la scène Ford.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 142 mm
  2e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 150 mm
  3e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 40 mm
  4e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 73 mm
  5e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 40 mm
  6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  7e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 150 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 40 mm
  9e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 150 mm
10e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
11e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 150 mm
12e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 45 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

Laissez un commentaire »

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , , , , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel