Créé en 1953 entre les rues Saint-Zotique (au nord) et Beaubien (au sud), et entre la 6e avenue (à l’ouest) et la 16e avenue (à l’est), le parc Beaubien occupe une superficie rectangulaire de trois hectares.
Le pavillon du parc Beaubien
Son pavillon est décoré de Paul au parc. Cette œuvre a d’abord été créée sur papier par le bédéiste Michel Rabagliati, puis transposée en murale par Jérôme Poirier.
Intersection de la rue Saint-Zotique (devant nous) et de la 6e avenue
Aperçu du parc
On y trouve huit courts de tennis (très populaires), un terrain de baseball et un autre de basketball, un parc à chiens, une aire de jeux pour les enfants, une pataugeoire, un jardin communautaire et, en hiver, une patinoire.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif PanLeica 8-18 mm (les trois premières photos) et Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (les quatre dernières photos)
1re photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 18 mm
2e photo : 1/200 sec. — F/3,5 — ISO 200 — 13 mm
3e photo : 1/250 sec. — F/3,5 — ISO 200 — 10 mm
4e photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 16 mm
5e photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 23 mm
6e photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 26 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 12 mm
Vers l’ouest et vers l’est, à la rencontre du boulevard Saint-Michel
Sauf entre l’avenue Gascon et la rue Hogan — où l’asphalte est abimée — la piste cyclable sur Rachel est très agréable à emprunter.
Une piste cyclable sécuritaire
En aménageant cette piste cyclable directement le long du trottoir, on fait en sorte que les automobiles stationnées servent de boucliers protecteurs contre ces conducteurs qui pourraient involontairement perdre le contrôle de leur véhicule.
La caserne à manger Labaraque et sa terrasse à l’arrière
Avec sa tour qui servait à faire sécher les boyaux qu’on y suspendait, cette ancienne caserne de pompiers est devenu un restaurant ou plutôt, selon ses propriétaires, une ‘caserne à manger’.
Rencontre de la rue Rachel et de l’avenue Jeanne-d’Arc
L’extrémité orientale de la rue Rachel se trouve à sa rencontre avec l’avenue Jeanne-d’Arc, au-delà de laquelle se trouvent le parc Guido-Nincheri et, au loin, le Stade olympique.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm
2e photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 26 mm
3e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
4e photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 16 mm
5e photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 23 mm
6e photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 26 mm
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À l’intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Rachel, on rencontre le parc des Amériques.
Vacant depuis la démolition d’un petit marché de quartier en 1966, ce terrain de 0,156 hectare fut transformé en parc au début des années 1990. Il rend hommage à la communauté latino-américaine de Montréal.
Vers l’ouest et vers l’est, devant l’église Saint-Jean-Baptiste
La création d’une piste cyclable sur la rue Rachel et la végétalisation du terreplein entre cette piste et la rue ont considérablement embelli cette voie de circulation, autrefois assez quelconque.
Aperçu du mont Royal
J’ai travaillé pendant des années près de l’intersection des rues Rachel et Saint-Hubert sans jamais remarquer à quel point la rue Rachel offrait une des plus belles vues du mont Royal.
On le doit à ces maisons de deux ou trois étages, encore abondantes dans le quartier, qui permettent à la vue de porter loin.
Caserne de pompiers No 16
Conçue par l’architecte de la corporation de Montréal, Louis-Roch Montbriand, la caserne No 16 fut construite en 1891-2.
À l’origine, l’édifice combinait, à gauche, un poste de police (déménagé depuis dans l’édifice moderne adjacent) et, à droite, une caserne de pompiers aux grandes ouvertures destinées à permettre le passage des véhicules hippomobiles.
Les Jardins Lafontaine, au 1397 est, rue Rachel
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
2e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 26 mm
3e photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 31 mm
4e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 27 mm
5e photo : 1/100 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 28 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 21 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 14 mm
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La dernière fois que j’ai visité le parc Maisonneuve, c’était à la fin de l’hiver 2022, alors que l’endroit était surtout fréquenté par des amateurs de ski de fond ou de marche hivernale.
En été, on y voit davantage de familles, de personnes âgées, de cyclistes et de personnes profitant soit de la fraicheur de ses bosquets ou au contraire, bronzant sur ses vastes pelouses.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm
2e photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
3e photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
4e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
5e photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 15 mm
6e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
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À partir du Lac-aux-Castors, il suffit d’une marche d’une dizaine de minutes pour accéder à la plus belle vue du centre-ville de Montréal, celle qu’on obtient au belvédère Kondiaronk.
Voilà comment s’achève ce petit reportage photographique réalisé au retour des obsèques de la pharmacienne Agathe Shooner.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm
2e photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 18 mm
3e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
4e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 20 mm
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Diplômée de la faculté de pharmacie de l’Université de Montréal en 1958, Agathe Shooner fut la première femme à diriger une association de pharmaciens québécois, soit l’Association professionnelle des pharmaciens salariés du Québec. Pendant douze ans, cette pionnière fut également membre du Bureau de l’Ordre des pharmaciens (c’est-à-dire son Conseil d’administration).
Les obsèques de cette femme remarquable eurent lieu samedi dernier. À l’avance, je m’étais informé du meilleur moment pour faire livrer des fleurs. Toutefois, à mon arrivée aux portes du cimetière, celles-ci étaient verrouillées et rien n’indiquait l’endroit où le service funéraire prévu avait lieu.
Bref, je suis revenu bredouille.
Mais ayant apporté par hasard mon appareil infrarouge, j’ai transformé cette infortune en quelque chose de positif; ce petit reportage photographique lui est donc dédié.
Monument au Dr Normand Bethune
Le médecin canadien Normand Bethune fut un des principaux compagnons de route de Mao Zédong au cours de sa Longue Marche (en 1934-1935). Une marche au cours de laquelle près de cent-mille rebelles communistes perdirent la vie.
En raison de la fragilité du marbre de Carrare et de la psychose antichinoise actuelle, on me permettra de ne pas préciser où cette sculpture est située.
Complexe résidentiel Rockhill
Embouchure de l’avenue Ridgewood
En descendant le Chemin de la Côte-des-Neiges, on rencontre l’avenue Ridgewood. Celle-ci serpente le versant nord du boisé Summit.
L’autobus qui la dessert poursuit sa course sur le mont Royal où le premier arrêt important est le Lac-aux-Castors (ci-dessous)
Lac-aux-Castors
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 29 mm
2e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
3e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm
4e photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm
5e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 24 mm
6e photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 19 mm
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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 25 mm
2e photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
3e photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 400 — 14 mm
4e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 23 mm
5e photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 40 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 17 mm
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Intersection de la rue Peel et du boul. René-Lévesque
Tehontá:kwi (2023), de MC Snow et Kyra Revenko
Derrière le 1100 ouest, boul. René-Lévesque
Cactus Modulaire (1986) de Robert Roussil
Église anglicane Saint-Georges (1869)
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
2e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
3e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 24 mm
4e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
5e photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
6e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 23 mm
Pour consulter tous les textes de ce blogue consacrés à l’infrarouge couleur, veuillez cliquer sur ceci.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre FS VertX1a + filtre Lee No 354 (Special Steel Blue). Balance des blancs automatique.
1re photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
2e photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 15 mm
3e photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
4e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
5e photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
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Destinées à l’éclairage de scène, les pellicules de polymère coloré de la compagnie Lee se laissent traverser facilement par le rayonnement infrarouge des gros projecteurs.
Ce qui leur évite de chauffer. Et ce qui réduit d’autant les risques d’incendie.
Même si ces pellicules ne sont pas faites pour cela, elles peuvent également être taillées et être utilisées par les photographes.
Leur transparence sélective à l’infrarouge, mais aussi à la teinte visible qui les colore fait en sorte qu’elles créent des résultats qui sont impossibles à simuler par des moyens électroniques.
D’où leur intérêt.
Anatomie d’un filtre
Un filtre qu’on peut visser à un objectif photographique comporte trois parties :
• le filtre proprement dit (en bas, à droite),
• une monture qui sert à monter (ou à visser) ce filtre, et
• une bague de rétention qui sert à maintenir en place le filtre proprement dit dans sa monture (en bas, à gauche).
La compagnie britannique Kood International vend spécifiquement des montures et des bagues de rétention qui peuvent servir à créer des filtres vissables.
Mais il est plus économique d’acheter n’importe quel filtre à bas prix, de le démonter, et de détourner sa monture et sa bague de rétention à une autre fin.
Par souci d’économie, de plus en plus de vendeurs de filtres les expédient dans des enveloppes coussinées.
Je suggère de débourser quelques dollars de plus afin d’obtenir le boitier approprié puisque les filtres Lee vissables sont fragiles et, conséquemment, doivent absolument être entreposés dans un boitier.
En commandant un filtre ultraviolet de marque Kenko (comme celui ci-dessus), on obtient un boitier rigide transparent. En commandant un filtre polarisant de marque Rise(UK) ou un filtre de couleur de marque L.Green, on obtient un boitier translucide de plastique souple.
La fabrication d’un filtre Lee vissable
Chaque bague de rétention porte deux fentes perpendiculaires. En y insérant un tourne-vis de métal, on peut visser — ou, au contraire, en tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre — extraire un filtre de sa monture.
Lorsqu’on éprouve de la difficulté à dévisser une bague de rétention, il suffit d’une goutte d’huile à moteur étalée au pourtour de cette bague et un séjour de dix minutes au congélateur pour qu’elle cède à votre volonté.
Après cela, on lavera le tout à l’eau chaude savonneuse ou mieux, en utilisant ces bains ultrasoniques qui servent à nettoyer les bijoux.
Il est à noter qu’il existe des filtres assemblés par thermofusion qui ne sont pas dévissables. S’ils se généralisent, cela compliquera la fabrication artisanale des filtres Lee vissables. Mais nous n’en sommes pas encore rendus là.
Placées sur une feuille de papier de soie, les pellicules Lee sont vendues enroulées sur elles-mêmes.
Il suffit de prendre le filtre proprement dit et de dessiner son pourtour sur ce papier pour que ce cercle serve à tailler la pellicule Lee.
Puis on place la rondelle de pellicule dans le creux de sa monture et on l’immobilise en y vissant la bague de rétention pour finalement obtenir votre filtre Lee vissable.
Un conseil : si ce dernier est destiné à faire partie d’un groupe de filtres utilisés ensemble (comme les trois filtres de l’infrarouge Rose bonbon), on prendra soin d’éviter de placer le filtre Lee à l’avant des autres, en raison de sa fragilité aux chocs et de la délicatesse des soins au nettoyage ou au dépoussiérage.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 60 mm F/2,8 Macro (3e photo) et M.Zuiko 25 mm F/1,2 (les autres photos)
1re photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 3200 — 25 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/5,6 — ISO 250 — 25 mm
3e photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 60 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 25 mm
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