Le restaurant du Jardin botanique de Montréal

29 mai 2024

Le restaurant proprement dit




 
De style Art déco, le restaurant du Jardin botanique de Montréal fut construit en 1955-1956 par l’architecte Paul Lambert (1910-2005).

De nos jours, c’est une cafétéria dont le menu comprend des plats chauds du jour (accompagnés ou non d’une soupe), des salades, des boissons froides, des fruits frais, des biscuits, des muffins et des viennoiseries.

Le restaurant est décoré de deux mosaïques en céramique de Robert Lapalme (1908-1997).

Celle au fond de la salle illustre le premier repas, en 1534, de Jacques Cartier en Amérique. Il s’agit d’une rencontre gastronomique où s’échangèrent, à gauche, des mets autochtones (maïs, gibier, poissons séchés, etc.) et à droite, ceux des marins français (pain, boissons alcoolisées, salaisons, etc.)

Du côté opposé, à la sortie de la salle, la mosaïque représente la petite histoire des tablées dans les auberges du Québec, des premiers temps de la colonie jusqu’au XIXe siècle.

Le Jardin de la Paix



Les visiteurs qui préfèrent se restaurer au grand air peuvent le faire au ‘Jardin de la Paix’, situé à gauche du restaurant.

Il est entouré d’une galerie où sont placés des bancs alors que l’espace central est meublé de tables disposées autour d’une fontaine dorée.

C’est en Turquie, dans la ville d’Izkik, que sont produites les céramiques florales qui ornent le Jardin de la Paix. Elles sont produites selon un procédé très laborieux, abandonné au XVIIe siècle, et redécouvert en 1995.

Ce jardin est le fruit d’un partenariat entre la ville de Montréal, la communauté turque de Montréal et la Fondation des céramiques d’Iznik.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs PanLeica 8-18 mm (2e et 3e photos) ou M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
2e  photo : 1/60 sec. — F/3,5 — ISO 1600 — 13 mm
3e  photo : 1/80 sec. — F/3,2 — ISO 2000 — 10 mm
4e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 16 mm
5e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 28 mm
6e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Infrarouge au Jardin botanique… mais pas que

23 mai 2024
Château Dufresne
Au parc Guido-Nincheri
Statue du frère Marie-Victorin

Au restaurant du Jardin botanique
Pergola du jardin des plantes utiles
Pavillon des jardins-jeunes

Détails techniques : Sigma DP1 infrarouge à spectre complet + filtre bleu B+W KB20 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu LBC8 de Kenko + filtre anti-infrarouge partiel GRB3/KG3 [1mm d’épaisseur]
1re photo : 1/30 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
2e  photo : 1/50 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
3e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
4e  photo : 1/30 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
5e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
6e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
7e  photo : 1/30 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 16,6 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Visite récente au Jardin de Chine

8 mai 2024





Détails techniques : Sigma DP1 infrarouge à spectre complet.
Pré-traitement : filtres Fuchsia pour Foveon (filtre bleu B+W KB20 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu LBC8 de Kenko + filtre anti-infrarouge partiel GRB3/KG3 [1mm d’épaisseur])
Post-traitement léger (dont Teinte +5)
1re photo : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
2e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm
3e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 16,6 mm
4e  photo : 1/40 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 16,6 mm
5e  photo : 1/30 sec. — F/4,0 — ISO 100 — 16,6 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Mes petits amis du Jardin botanique

8 avril 2024

Au cours de la saison froide, l’épaisse couche de neige cache aux animaux sauvages les ressources alimentaires qui jonchent le sol des forêts et des sous-bois.

Voilà pourquoi, dans le cas des oiseaux qui y habitent, le Jardin botanique de Montréal installe ici et là des mangeoires chaque hiver afin d’augmenter leurs chances de survie.

Ces mangeoires sont retirées lorsque le temps s’adoucit afin que ces animaux retrouvent leur instinct sauvage et ne deviennent pas dépendants de l’intervention humaine.

Le Jardin botanique interdit aux personnes qui y viennent de nourrir ses petits pensionnaires, peu importe la saison. C’est un interdit que je respecte depuis des années, mais auquel j’ai fait exception cet hiver.

Les jours ensoleillés de mars, en me rendant ou en revenant de l’Insectarium, j’ai pris l’habitude de nourrir les animaux qui fréquentent une petite clairière située un peu à l’écart, entre le Jardin de Chine et le Jardin alpin.

À cette fin, je m’étais procuré des fragments noix de Grenoble achetés au Dollarama (1,50$ pour un sachet de 70 grammes).

Écureuil gris albinos

À la mi-mars, ce que je croyais être, au loin, un morceau de papier qui virevoltait au vent s’est avéré être un écureuil albinos, probablement le seul de tout le Jardin botanique.

Il possède aussi la caractéristique d’avoir le pelage particulièrement long.

Écureuil gris

Les yeux des écureuils gris sont situés de chaque côté de leur tête. Ce qui fait qu’ils voient mal les petits objets situés juste devant leur museau.

Lorsqu’on leur tend un fragment de noix entre nos doigts, l’écureuil doit nécessairement prendre nos doigts entre ses mains et grignoter à l’aveugle ce qu’on leur tend. Ou étirer le museau et prendre le fragment avec ses incisives pour finalement partir avec son butin.

Lorsque le fragment est offert sur la paume de notre main — ce qui implique que l’écureuil doit monter sur notre main pour obtenir sa récompense — sa mauvaise vision dans son axe central fait qu’il n’est pas rare que l’écureuil mordille le bout d’un de nos doigts pour découvrir que ce n’est pas ce qu’il veut, puis s’avance davantage jusqu’à trouver ce qu’il cherche.

À deux occasions, un écureuil m’a mordillé le bout d’un doigt sans réellement me blesser. J’ai simplement bougé légèrement ce doigt en faisant un léger son désapprobateur (tut-tut-tut) pour que l’animal comprenne le message.

Parmi mes petits amis se trouvent au moins deux écureuils roux. À peine plus gros qu’un Tamia rayé, ces rongeurs sont d’une extrême vivacité. Malheureusement, je n’ai pas encore réussi à les photographier.



Mésange à tête noire


Sittelle à poitrine blanche

Photographier des oiseaux qui nous mangent dans la main est un peu compliqué. Cela implique qu’une main leur tend des noix tandis que l’autre tient et actionne l’appareil photographique.

Pour ce faire, j’ai adopté une technique photographique particulière.

Premièrement, j’ai choisi une vitesse d’obturation d’un deux-millième de seconde.

Deuxièmement, afin de ne pas intimider les oiseaux, j’ai utilisé un objectif de petite dimension. Autre avantage : un équipement plus léger est plus facile à soutenir d’un seul bras pendant une période prolongée.
 

 
Et surtout, j’ai opté pour l’obturateur électronique de mon appareil photographique, ce qui le rend totalement silencieux.

Pour terminer, la mise au point se faisait à partir de l’écran arrière articulé tourné vers moi, alors que l’appareil proprement dit pointait vers l’oiseau.

Cardinal rouge femelle

Un couple de Cardinaux rouges fréquentent également cette clairière. Parfois, je vois le mâle. D’autres jours, c’est la femelle.

Perché sur sa branche, un peu à l’écart, je vois bien le Cardinal rouge qui observe avec envie les autres oiseaux festoyer. Pour respecter sa timidité, nous avons développé le rituel suivant.

Je prends un beau gros fragment de noix de Grenoble que je pointe vers lui tout en le regardant. Comme pour lui dire : « Celui là, c’est pour toi ».

Dès le fragment déposé sur une branche basse horizontale, je pointe du doigt le fragment tout en regardant le Cardinal rouge. Puis je recule de trois ou quatre pas. Aussitôt, l’oiseau fonce vers le fragment, le saisit de son bec et s’enfuit aussitôt.

Après avoir découvert un gout que je ne connaissais pas pour les noix de Grenoble, j’ai décidé de les garder pour moi et de me procurer la semaine dernière des graines de citrouilles décortiquées et des arachides en écailles pour mes petits amis de la clairière.

Entretemps, le Jardin botanique a retiré ses mangeoires. Ce qui fait que mon expérience de cet hiver se terminera d’ici peu puisque je suis d’accord avec la politique du Jardin botanique à ce sujet et j’entends m’y conformer dans quelques jours, dès que j’aurai écoulé ce qui me reste de noix et d’arachides.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14 (photos 1, 2 et 7) et Lumix 14-42 mm (les autres photos)
1re photo : 1/1250 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 210 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 70 mm
3e  photo : 1/2000 sec. — F/5,0 — ISO 640 — 21 mm
4e  photo : 1/2000 sec. — F/5,0 — ISO 400 — 21 mm
5e  photo : 1/2000 sec. — F/5,6 — ISO 400 — 25 mm
6e  photo : 1/2000 sec. — F/5,6 — ISO 400 — 25 mm
7e  photo : 1/250 sec. — F/4,5 — ISO 400 — 140 mm

Postscriptum du 14 avril 2024 : Depuis la publication de ce texte, je suis retourné à cette clairière à trois occasions. Puisque j’ai épuisé ma petite provision de noix et d’arachides à donner, c’est donc la dernière fois aujourd’hui que j’y vais pour nourrir des animaux.

Cliquez sur la photo pour l’agrandir

Entretemps, s’était ajouté un nouvel ami; un Tamia rayé, mignon et expressif.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14 — 1/1600 sec. — F/4,0 — ISO 2500 — 210 mm.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Mi-février au Jardin botanique en infrarouge

21 mars 2024
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Ombres +13
Hautes lumières -40, Blancs +13
Exposition +0,2, Hautes lumières -100, Ombres +17
Ombres +75
Hautes lumières -52, Blancs -32

Détails techniques : Sigma DP1 infrarouge à spectre complet.
Pré-traitement : filtres Fuchsia pour Foveon (filtre bleu B+W KB20 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu LBC8 de Kenko + filtre anti-infrarouge partiel GRB3/KG3 [1mm d’épaisseur])
Post-traitement : Topaz Sharpen AI.
1re photo : 1/30 sec. — F/4,5 — ISO 100 — 16,6 mm
2e  photo : 1/40 sec. — F/4,5 — ISO 100 — 16,6 mm
3e  photo : 1/50 sec. — F/4,5 — ISO 100 — 16,6 mm
4e  photo : 1/50 sec. — F/4,5 — ISO 100 — 16,6 mm
5e  photo : 1/60 sec. — F/4,5 — ISO 100 — 16,6 mm
6e  photo : 1/25 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 16,6 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les Cannas

4 septembre 2023


Cliquer sur une image pour l’agrandir

Les cannas sont des vivaces dont la racine horizontale (appelée rhizome) donne naissance à des racines secondaires et à d’autres tiges aériennes (en d’autres mots, à d’autres cannas).

Selon la variété, la hauteur des plantes varie de 0,45 à 5 mètres.

Sans compter le millier de cultivars, il en existe environ 25 variétés sauvages, toutes originaires d’Amérique latine. Les pétales de ces dernières sont étroits et monochromes alors que les pétales des cultivars sont beaucoup plus larges, souvent mouchetés d’une autre couleur.

Ressemblant parfois à ces mouchoirs de soie qui jaillissent mollement de la poche d’un chemisier, leurs fleurs asymétriques arborent des teintes de jaune, de crème, d’orange, de rouge, de rose, d’abricot ou de violet.

Au jardin, les canas aiment le soleil, de même que des sols humides, bien riches en engrais.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/5000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/5000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/3250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Fleurs récentes

24 juillet 2023
Fleur du 2609 av. Jeanne-d’Arc
Lis (non-identifié)
Zinnia bicolore
Astilbe ‘Partiezz Surprise Party’
Hémérocalle ‘Wild Wolf’
Immortelle à bractées

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/4000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 97 mm
3e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 95 mm
5e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 125 mm
6e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Cet après-midi au Jardin de Chine

10 décembre 2022
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Détails techniques : OM-D e-M5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtres à infrarouge HyperBleu (bleu FS KB20 + filtre bleu Hoya 80c) – 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm.

Balance des blancs automatiques. Post-traitement : Nik Color Efex Pro (Tonal Contrast) et vignettage ajouté.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Fin d’automne en infrarouge Rose bonbon

27 octobre 2022




 
Au gros soleil l’été, une pierre peut être brulante alors que le feuillage est approximativement à la température ambiante.

Cela s’explique par le fait que cette pierre absorbe le rayonnement infrarouge — responsable de la chaleur du soleil — alors que la végétation rejette l’infrarouge massivement puisque celui-ci est une menace pour ses processus biochimiques.

Normalement, environ la moitié de la lumière solaire est composée de rayonnement infrarouge.

Les trois filtres qui sont nécessaires pour créer des photos infrarouges Rose bonbon modifient cet équilibre au profit de la lumière visible.

Placés entre le sujet et le capteur de l’appareil photo, ces filtres sont capables de bloquer de manière importante l’infrarouge des objets qui en réfléchissent peu (qui, de ce fait, apparaitront de couleur presque normale).

Mais la quantité réfléchie par le feuillage est telle qu’en dépit des filtres, la végétation apparaitra rose quand même.
 


 
À la fin de l’automne, le feuillage mourant perd de son aptitude à faire rebondir l’infrarouge. Du coup, on voit apparaitre des différences de coloris entre la végétation encore vigoureuse et celle qui vit ses derniers jours.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectifs M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les 3 premières photos) et M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 (4e photo) + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu FS KB20 + filtre bleu 80C d’Hoya
1re photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
4e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 150 mm / 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 150 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Jardins de lumière 2022 : au Jardin des Premières-Nations

3 octobre 2022

Au Jardin botanique de Montréal, l’édition 2022 de l’exposition ‘Jardins de lumière’ se déroule dans trois lieux : au Jardin des Premières-Nations, au Jardin japonais et au Jardin de Chine.

Le circuit proposé aux visiteurs leur suggère de débuter leur visite au plus éloigné d’entre eux, soit le Jardin des Premières-Nations.
 

 
Sur le chemin pour s’y rendre, on assiste à une projection lumineuse intitulée ‘Chœur de loup’, où une lune colorée se lève au son du gueulement de loups.
 

 
Une demie-lune lumineuse marque l’entrée officielle du circuit au travers du Jardin des Premières-Nations alors que la poétesse Joséphine Bacon récite un de ses poèmes à la fois en innu et en français.
 

 
Le long d’un sentier sombre au travers des bois, diverses installations lumineuses sollicitent les visiteurs dont celle qui peint de couleurs l’Arbre sacré, un peuplier géant qui symbolise le cycle de la vie.
 






 
À mi-parcours, les présentoirs destinés à donner un aperçu des cultures autochtones sont particulièrement attrayants lorsqu’ils sont parés, comme ici, de leur éclairage nocturne.


 
Comme pour boucler la boucle, le mot de la fin est laissé à Joséphine Bacon qui récite ici un de ses poèmes les plus célèbres, extrait de son recueil ‘Un thé dans la toundra’.

Compléments de lecture :
Jardins de lumière 2022 : au Jardin japonais
Jardins de lumière 2022 : au Jardin de Chine

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 12mm F/2,0
  1re photo : 1/10 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  2e  photo : capture d’écran d’un clip vidéo
  3e  photo : 1/6 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 800 — 12 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 640 — 12 mm
10e  photo : 1/50 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel