Préambule : Jusqu’à récemment, je ne connaissais pas cette chanson qui, pourtant, a connu un énorme succès en Europe. Pour ceux qui ne l’ont jamais entendue, en voici les paroles. Ci-dessous, a été placée en italiques, la partie du texte qui n’est pas chantée par la Française Sherley Paredes à The Voice Portugal.
Gare du Nord en novembre, les cheveux en pagaille
Comme une boule au ventre qui me tend, qui me tord
Et Paris qui s’étale
Tout à coup, me voilà, les jambes fébriles
Qu’elle est grande pour moi cette scène imposante où tout devient fragile
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
(Envolée, mon enfance, mais jamais rien n’efface
Les rêves ou la violence, ah oui, ça vous glace, mais c’est pour ça qu’on chante
Donnez-moi d’échouer et que vienne la pluie
On ne m’ôtera jamais que j’ai déjà gagné de nouveaux amis
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique)
Et plus fort que ma voix, je l’entends frapper
Ce cœur qui bat et balaie mes larmes et mes pourquoi
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Messieurs, mesdames me voilà
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat.
Après une première visite vendredi dernier, je suis retourné sur le site de Montréal en lumière le lendemain soir pour expérimenter la photo de nuit à l’infrarouge.
Pour que celle-ci se distingue d’une simple photo en couleur, il doit y avoir une souche de rayonnement infrarouge. Le jour, c’est simple; c’est le soleil.
Mais la nuit…
Dès le départ, j’ai dû renoncer à utiliser les trois filtres de l’infrarouge Rose bonbon car ils assombrissaient trop l’image.
Dans les photos ci-dessus, seul un filtre bleu Hoya C12 a été utilisé.
Dans la première de cette série, la colonnade de la Place des Arts est teintée rose. Ce qui prouve que même la nuit, certaines sources lumineuses émettent du rayonnement infrarouge (partiellement bloqué par le filtre d’Hoya).
Toutes ces photos manquent de netteté comme si le stabilisateur d’image de mon appareil n’avait pas fonctionné. En dépit de ce défaut, j’aime bien le résultat.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif PanLeica 8-18mm + filtre bleu Hoya C12
1re photo : 1/40 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
2e photo : 1/25 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
3e photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 11 mm
Les cinq tubes illuminés de la Glisse vite Tim Horton
Prismaphonik (de William Simard, Anthony Gagnon Boisvert)
Projections lumineuses sur la Maison symphonique
Prismatica (de RAW Design)
Patinoire de l’esplanade Tranquille
Interrompu en 2021 en raison de la pandémie, le festival Montréal en lumière est de retour cet hiver jusqu’au 5 mars 2023 pour sa 24e édition.
En plus de son volet musical et son volet gastronomique — qui met en vedette cette année des chefs scandinaves — le festival inaugure le Sentier de patin qui, à la différence d’une patinoire rectangulaire ou carrée, est un circuit en boucle, surélevé et long de 300 mètres, qui sillonne la place des Festivals.
Ce sentier fait symétrie avec la patinoire de l’esplanade Tranquille, de forme plus traditionnelle, située à l’autre extrémité du site.
Pour terminer, rappelons qu’il suffit de cliquer sur une des images ci-dessus pour l’agrandir.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 25 mm F/1,2 (4e et 9e photos) et PanLeica 8-18 mm (les autres photos)
1re photo : 1/160 sec. — F/3,4 — ISO 1600 — 12 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 17 mm
3e photo : 1/40 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/3,6 — ISO 4000 — 14 mm
5e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/3,1 — ISO 2500 — 9 mm
7e photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
9e photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 25 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm
Originellement, le swing est un style musical issu du jazz, caractérisé par son rythme animé et bondissant. C’est sur ce rythme que sont nés le charleston et diverses danses apparues entre 1920 et 1940.
Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, ces danses prirent le nom collectif de ‘danse du swing’. À l’époque, chacune d’entre elles conservait son nom. La version la plus folle et la plus déjantée du swing fut le Lindy Hop (souvent appelé jitterbug).
Au cours de la décennie qui suivit la libération de la France en 1945, le jitterbug, prisé des soldats américains, fit fureur dans les clubs de jazz parisiens. Sous son aspect improvisé (habituelle feint en raison de sa virtuosité), il symbolisait alors un élan de liberté après des années de privation.
Déjà concurrencé par le Rock’n Roll dès la fin des années 1950, le swing tomba en désuétude dans les années 1970.
Toutefois, à titre d’ancêtre des danses de rue improvisées actuelles, les danses du swing rencontrent de nouveaux adeptes.
Interrompus sous la pandémie, de nombreux festivals de swing aspirent à renaitre.
Les festivals non compétitifs
Cliquez sur l’image pour démarrer
Devant une foule assise par terre à l’avant et debout à l’arrière, des danseurs, seuls ou en couple, s’emparent successivement de la piste de danse au son d’un orchestre réduit. C’est la formule des festivals non compétitifs.
Les festivals compétitifs
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Contrairement aux télécrochets — comme l’émission Révolution — la plupart des festivals compétitifs de swing sont basés sur l’improvisation. De manière à être fidèles aux origines du jazz.
C’est l’essentiel qu’ils en ont retenu puisque depuis le début de ce siècle, le swing intègre un grand nombre de rythmes de musique pop.
Les couples sont formés par tirage au sort. Le hasard réunit donc des couples du même sexe ou de sexes différents. Et la musique qui accompagne ces improvisations, d’une durée de deux ou trois minutes, est alors moins rapide que celle, effrénée, utilisée par les festivals non compétitifs.
Depuis deux jours, je me suis plongé sur Youtube dans l’univers joyeux du swing. Histoire de baigner dans l’esprit des Fêtes.
Je vous invite à y faire un tour…
Références : Swing (danse) West Coast Swing
Voici quelques festivals de swing (renommés avant la pandémie) dont on trouvera des vidéos sur Youtube : le volet ‘swing’ du Bavarian Open, le Berlin Swing Revolution, le Jazz Roots Battle (à Paris), le Montreal Swing Riot, le Prague Xmas Swing, le Scandinavian Open WCS (à Stockholm), le Swingtacular (à San Francisco), The After Party (près de Los Angeles), le Warsaw Halloween Swing, le West Coast Swing Budafest, le Westie Pink City (à Toulouse), le West in Lyon, et le West Zouk Time (à Brno).
Interné dans une institution psychiatrique dès l’âge de 19 ans jusqu’à sa mort le 18 novembre 1941 (à 61 ans), Émile Nelligan est le plus connu des poètes québécois.
Composé en octosyllabes vers 1898, ‘Soir d’hiver’ est un de ses poèmes les plus connus.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu KB20 + filtre bleu 80C de Calumet + filtre polarisant PL-CIR d’Hoya
Photo a été modifiée en post-traitement à l’aide de Topaz Studio ; les modules logiciels Broken Bits et Starlight Glitter ont été appliqués.
À l’origine, ‘Jardins en lumière’ était essentiellement une exposition de lanternes chinoises.
Fabriquées à Shanghai, celles-ci étaient — et demeurent encore — des structures fantaisistes en fil de fer recouvertes d’une membrane colorée, le tout éclairé de l’intérieur.
Depuis trois décennies, cet évènement culturel automnal s’est enrichi de volets très différents au Jardin japonais et au Jardin des Premières-Nations. Toutefois, l’exposition de lanternes au Jardin de Chine est demeurée au cœur de ‘Jardins en lumière’ et le volet le plus apprécié des visiteurs.
Le thème de cette année est ‘Pangu : ce géant qui créa le monde’. Pour illustrer ce thème ambitieux, on a fait appel à des techniques audiovisuelles spectaculaires dont témoigne l’extrait vidéo ci-dessus.
Voici ce qu’en dit le programme de l’exposition :
On raconte qu’avant que le monde existe, l’univers ressemblait à un œuf gigantesque où se mêlaient le Ciel et la Terre. À l’intérieur, tout était chaos et obscurité. Pourtant Pangu y dormait paisiblement.
À son réveil, 18 000 ans plus tard, il ouvrit ses énormes mains et, dans un puissant coup rappelant le tonnerre, il brisa la paroi de cet œuf devenu trop petit pour lui. Tous les éléments figés depuis des milliers d’années se répandirent alors dans tous les sens.
Pangu dû travailler pendant 18 000 autres années pour les remettre en place. Il commença par tenir le Ciel à bout de bras pour le séparer de la Terre. À la fin, épuisé par tant d’efforts, il s’effondra.
Son corps commença alors à se transformer. Sa chair devint le sol fertile, son sang les fleuves, sa sueur la pluie, ses os les pierres précieuses, sa chevelure les arbres et les plantes, ses yeux le Soleil et la Lune, son souffle le vent, sa voix le tonnerre et les poux et les puces de son corps… les êtres humains.
Finalement, les quatre membres de Pangu établirent les quatre points cardinaux où règnent aujourd’hui la Tortue noire du Nord, l’Oiseau vermillon du Sud, le Dragon azur de l’Est et le Tigre blanc de l’Ouest, lesquels, selon certains, auraient aidé Pangu à accomplir sa colossale tâche de création du monde.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 (1re, 8e, 9e, 11e et 13e photos), M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (2e photo) et M.Zuiko 12 mm F/2,0 (les autres photos)
1re photo : 1/60 sec — F/1,2 — ISO 6400 — 25 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 14 mm
3e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 400 — 12 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1600 — 12 mm
5e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
7e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
9e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 320 — 25 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 320 — 12 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
13e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 800 — 25 mm
Depuis des années, la projection de lumière colorée sur la végétation du Jardin japonais est la signature visuelle du volet japonais de l’exposition Jardins de lumière.
C’est en cela qu’il se distingue du volet chinois puisqu’à côté, au Jardin de Chine, ce qu’on présente est essentiellement une exposition de lanternes chinoises.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 (6e photo) et M.Zuiko 12 mm F/2,0 (les autres photos)
1re photo : 1/50 sec — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 4000 — 12 mm
3e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 250 — 12 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 320 — 12 mm
5e photo : 1/25 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
6e photo : 1/25 sec. — F/1,2 — ISO 4000 — 25 mm
7e photo : 1/10 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
8e photo : 1/30 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
9e photo : 1/20 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
10e photo : 1/25 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
Au Jardin botanique de Montréal, l’édition 2022 de l’exposition ‘Jardins de lumière’ se déroule dans trois lieux : au Jardin des Premières-Nations, au Jardin japonais et au Jardin de Chine.
Le circuit proposé aux visiteurs leur suggère de débuter leur visite au plus éloigné d’entre eux, soit le Jardin des Premières-Nations.
Sur le chemin pour s’y rendre, on assiste à une projection lumineuse intitulée ‘Chœur de loup’, où une lune colorée se lève au son du gueulement de loups.
Une demie-lune lumineuse marque l’entrée officielle du circuit au travers du Jardin des Premières-Nations alors que la poétesse Joséphine Bacon récite un de ses poèmes à la fois en innu et en français.
Le long d’un sentier sombre au travers des bois, diverses installations lumineuses sollicitent les visiteurs dont celle qui peint de couleurs l’Arbre sacré, un peuplier géant qui symbolise le cycle de la vie.
À mi-parcours, les présentoirs destinés à donner un aperçu des cultures autochtones sont particulièrement attrayants lorsqu’ils sont parés, comme ici, de leur éclairage nocturne.
Comme pour boucler la boucle, le mot de la fin est laissé à Joséphine Bacon qui récite ici un de ses poèmes les plus célèbres, extrait de son recueil ‘Un thé dans la toundra’.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 12mm F/2,0
1re photo : 1/10 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
2e photo : capture d’écran d’un clip vidéo
3e photo : 1/6 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
5e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
7e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 800 — 12 mm
9e photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 640 — 12 mm
10e photo : 1/50 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
D’ici peu, j’aurai l’occasion de publier un reportage photographique de l’édition 2022 de ‘Jardins de lumière’, qui se tient actuellement au Jardin botanique de Montréal.
Conçues pour être admirées de nuit, ces installations ont quand même un certain charme de jour.
Après avoir utilisé les mêmes lunettes pendant neuf ans, j’ai passé dernièrement un examen de la vue et acheté deux nouvelles paires de lunettes chez le même opticien d’ordonnance.
La première m’a couté 811 $ (603 €) et la seconde, 354 $ (263 €).
Le mois suivant, j’ai cherché à me procurer une troisième paire sur l’internet, histoire de vérifier si on peut se fier à ces lunettes-là.
Très tôt, je me suis rendu compte que les offres de lunettes à verres progressifs étaient souvent trompeuses; leurs lunettes à bas prix sont en réalité des montures à bas prix. Dès qu’on y ajoute les verres proprement dits, un revêtement antireflet et ainsi de suite, les prix se mettent à grimper.
Ce n’est pas le cas de Zenni Optical. Leurs lunettes sont très économiques. Mais sont-elles de qualité ?
Après avoir acheté auprès de cette entreprise, une paire de lunettes à verres progressifs (ci-dessus) au prix de 154,80 $ (soit 115 €) et après avoir été incapable de trouver une différence avec celles achetées en boutique, j’ai décidé de m’offrir une quatrième paire en notant cette fois les étapes à franchir afin de vous les expliquer.
Deux prérequis
Avant de passer une commande de lunettes à verres progressifs, vous avez besoin de deux choses.
Premièrement, d’une ordonnance d’un optométriste.
Et deuxièmement, vous devez connaitre votre distance interpupillaire. Celle-ci est l’écart (en millimètres) entre les centres de vos yeux. Pour la mesurer, on se place devant un miroir et, à l’aide d’une règle, on mesure cet écart.
En haut de la page d’accueil, à la droite du nom ‘ZENNI’, choisissez de voir le catalogue des montures pour homme (Men), pour femme (Women) ou pour enfant (Kids) et, dans le menu déroulant, cliquez sur Progressives pour voir les montures à verres progressifs.
À la page qui apparait, cliquez sur ‘Shop Progressive Frames’.
Une fois que vous avez choisi une monture qui vous intéresse, cliquez sur son image. Ce qui vous donne accès à plus de détails à son sujet.
Cliquez sur l’image pour l’agrandir
Au haut de la page, à gauche, vous pouvez choisir de voir la monture de face, de côté ou de biais. À droite, le bouton ‘Try On’ vous montrera cette monture telle que portée par différents modèles. Il est à noter que ce sont ici des images de synthèse, c’est-à-dire des images où la photo de la monture et celle de chaque modèle ont été combinés électroniquement.
Au bas de cette même page, vous avez les dimensions de la monture. À gauche, ‘PD Range’ vous précise, dans ce cas-ci, que cette monture est indiquée pour les personnes dont la distance interpupillaire est comprise entre 56 et 73 mm. De plus, on vous confirme qu’elle peut servir à monter des verres progressifs.
À droite, ‘Lens Width’ est la largeur de chaque verre. ‘Bridge’ est la largeur du pont qui relie les deux verres.
Si vous souhaitez que vos yeux soient au centre de vos lunettes (ce qui est plus esthétique), votre distance interpupillaire doit être très près de la somme de ces deux valeurs (ici, 50 mm + 20 mm, soit 70 mm).
Quant à ‘Lens Height’, c’est la hauteur de chaque verre. Lorsque la hauteur est suffisante, la personne qui porte les lunettes n’a pas besoin de hausser le menton pour passer de la vision éloignée à la vision rapprochée.
Pour terminer, ‘Frame Weight’ est le poids de la monture (donc sans les verres correcteurs).
Si tout vous convient, cliquez sur le bouton ‘Select Lenses’.
À la page suivante, cliquez sur ‘Prescription’.
À celle d’après, vous vous présentez comme un nouveau client ou un client déjà connu, mais disposant d’une nouvelle ordonnance (bouton du haut), ou comme un client dont l’ordonnance est déjà enregistrée chez Zenni (bouton du bas).
Dans le cas d’un nouveau client, cliquez sur ‘New Customer’.
À l’écran suivant, vous aurez à choisir entre ‘Single Vision’ (pour des lunettes à grossissement uniforme), ‘Progressives’ (pour des lunettes à verres progressifs) et ‘Bifocals’ (pour des lunettes à double foyer). Optez pour ‘Progressives’.
À l’écran suivant, cliquez sur la flèche pointant vers le bas afin d’ouvrir la liste déroulante qui vous permettra de préciser votre distance interpupillaire.
Dès que vous l’aurez précisée, l’écran s’agrandira automatiquement vers le bas afin de vous permettre d’entrer les données de l’ordonnance de votre optométriste.
Au bas, entrez l’année de votre naissance à ‘Birth Year’ et cliquez sur le bouton ‘Submit’.
De retour à la paire de lunettes que vous désirez, choisissez entre des verres progressifs :
• incolores,
• très subtilement jaunâtres qui bloquent la lumière bleue des écrans électroniques,
• teintés contre le soleil, ou
• incolores, mais qui s’assombrissent au soleil.
Si vous avez choisi des verres incolores, cette page vous offre le choix de verres qui protègent contre les ultraviolets ou des verres d’usage général.
Cette page vous suggère de payer un supplément pour des verres plus minces et plus légers. Je suggère de choisir ce qui est recommandé.
À cette page, vous pouvez payer un supplément :
• pour un revêtement antireflet,
• pour un revêtement qui laisse moins d’emprise à la pluie,
• pour un revêtement où les marques de doigts sont moins visibles, et
• pour un revêtement anticondensation.
Cliquez sur ‘Checkout’ pour passer à la caisse. À moins de vouloir un clip solaire ou de vouloir que votre nom soit gravé sur les branches de la lunette.
L’avant-dernière page est pour le paiement. Dans ce cas-ci, Zenni offrait un rabais de 20 %. Ce qui fait que cette quatrième paire de lunettes à verres progressifs m’a couté 123,43 $ (soit 92 €). Un peu lourde, mais pas chère.
La dernière page est la confirmation de la commande.
Normalement, les lunettes sont livrées deux semaines plus tard.