Montréal en lumière 2023 (en infrarouge)

20 février 2023
Prismaphonik sur l’esplanade de la Place des Arts
Vue du site d’ouest en est
Grande Roue vue de l’intérieur d’Iceberg

Après une première visite vendredi dernier, je suis retourné sur le site de Montréal en lumière le lendemain soir pour expérimenter la photo de nuit à l’infrarouge.

Pour que celle-ci se distingue d’une simple photo en couleur, il doit y avoir une souche de rayonnement infrarouge. Le jour, c’est simple; c’est le soleil.

Mais la nuit…

Dès le départ, j’ai dû renoncer à utiliser les trois filtres de l’infrarouge Rose bonbon car ils assombrissaient trop l’image.

Dans les photos ci-dessus, seul un filtre bleu Hoya C12 a été utilisé.

Dans la première de cette série, la colonnade de la Place des Arts est teintée rose. Ce qui prouve que même la nuit, certaines sources lumineuses émettent du rayonnement infrarouge (partiellement bloqué par le filtre d’Hoya).

Toutes ces photos manquent de netteté comme si le stabilisateur d’image de mon appareil n’avait pas fonctionné. En dépit de ce défaut, j’aime bien le résultat.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif PanLeica 8-18mm + filtre bleu Hoya C12
1re photo : 1/40 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
2e  photo : 1/25 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
3e  photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 11 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière, édition de 2023

18 février 2023
Entrée du site à l’ouest, sur Sainte-Catherine
Entrée de l’Ilot Balmoral
Optik (par Urban Conga)
Sentier de patin Banque Scotia
Iceberg (d’APPAREIL architecture)
Grande Roue Loto-Québec
Les cinq tubes illuminés de la Glisse vite Tim Horton
Prismaphonik (de William Simard, Anthony Gagnon Boisvert)
Projections lumineuses sur la Maison symphonique
Prismatica (de RAW Design)
Patinoire de l’esplanade Tranquille

Interrompu en 2021 en raison de la pandémie, le festival Montréal en lumière est de retour cet hiver jusqu’au 5 mars 2023 pour sa 24e édition.

En plus de son volet musical et son volet gastronomique — qui met en vedette cette année des chefs scandinaves — le festival inaugure le Sentier de patin qui, à la différence d’une patinoire rectangulaire ou carrée, est un circuit en boucle, surélevé et long de 300 mètres, qui sillonne la place des Festivals.

Ce sentier fait symétrie avec la patinoire de l’esplanade Tranquille, de forme plus traditionnelle, située à l’autre extrémité du site.

Pour terminer, rappelons qu’il suffit de cliquer sur une des images ci-dessus pour l’agrandir.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 25 mm F/1,2 (4e et 9e photos) et PanLeica 8-18 mm (les autres photos)
  1re photo : 1/160 sec. — F/3,4 — ISO 1600 — 12 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 17 mm
  3e  photo : 1/40 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/3,6 — ISO 4000 — 14 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/3,1 — ISO 2500 — 9 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm
10e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 25 mm
11e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Souvenirs de la Nuit blanche 2020

1 mars 2020

Hier soir, je suis allé au festival Montréal en lumière alors que se déroulait la Nuit blanche.

Ma motivation pour affronter le froid, c’était essentiellement d’aller au musée de Pointe-à-Caillière. Celui-ci est un des rares musées importants de Montréal qui n’est pas gratuit chaque premier vendredi du mois alors qu’il l’est au cours de la Nuit blanche.


À l’église du Gesù

Au rez-de-chaussée du Gesù, on pouvait assister à un spectacle d’humour. À l’étage, dans l’église, il y avait un spectacle d’orgue.

Dans l’attente de celui-ci se déroulait une cérémonie d’inspiration autochtone; les participants écrivaient leurs prénoms sur un bout de papier qu’une officiante lisait à voix haute avant de le bruler.


Sur la Place d’Armes

Dans le Vieux-Montréal, la rue Notre-Dame est parée cette année d’une signature lumineuse spécifique, différente de celle de la rue Saint-Antoine.

Les Incas… c’est le Pérou !

Finalement, au musée Pointe-à-Callière, j’ai vu l’exposition consacrée aux peuples qui habitaient le Pérou à l’époque précolombienne.

Je compte vous en reparler plus en détail dans les jours qui viennent.

Détails techniques des photos : Olympus OM-D e-m5 mark II, PanLeica 8-18 mm (1re photo) et M.Zuiko 25 mm F/1.2 (les autres photos)
1re photo : 1/50 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
3e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 2500 — 25 mm
5e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 1000 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche du festival Montréal en lumière 2018

8 mars 2018
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Du 22 février au 4 mars 2018 se tenait la 18e édition du festival Montréal en lumière.

Comme d’habitude, ce festival culminait par une Nuit blanche au cours de laquelle se déroulaient près de 150 activités, la plupart gratuites.

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Pour faciliter les déplacements des festivaliers, la Société de transport de Montréal offrait un titre de transport illimité au cout de 5$. Précisions qu’exceptionnellement, le métro était ouvert toute la nuit.

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De 22h à minuit, les artisans de l’émission humoristique La nuit est encore jeune produisaient une édition spéciale dans un salon de la Place des Arts, devant un public de très bonne humeur.

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À la sortie sud de la Place des Arts, les festivaliers devaient emprunter un viaduc qui enjambait la glissade en traineaux.

Ce goulot d’étranglement y réduisait considérablement la fluidité des déplacements. Il était donc préférable d’accéder au site par d’autres sorties (dont celle par la Place Desjardins).

Mais si j’avais suivi ce conseil, je n’aurais pas obtenu la première photo de cette série — prise précisément du haut du viaduc — que j’aime particulièrement.

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La Nuit blanche est une belle occasion de visiter gratuitement le musée d’Art contemporain de Montréal.

D’habitude, on y accède après une attente de quelques minutes. Pas cette année.

L’immense popularité de l’exposition Léonard Cohen : une brèche dans toute chose a fait en sorte qu’il fallait compter cette fois-ci sur une bonne trentaine de minutes d’attente.

Heureusement, la température plus douce que d’habitude rendait tout cela très supportable.

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Devant l’installation Cathédrale (2013) de Yann Pocreau, il est difficile de ne pas songer aux paroles de Léonard Cohen : ‘Il y a une brèche dans toute chose. C’est par elle que la lumière pénètre’.

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Sur la Place des Festivals, les passants étaient sollicités par diverses offres gourmandes, des jeux de société, et la Grande roue.

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Le musée McCord présentait simultanément trois expositions : deux expositions photographiques (qui m’ont laissé indifférent) et l’exposition Tohu-bohu au pays des contes, destinée aux enfants, que j’ai trouvée variée et très réussie.

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Puis je me suis rendu au Musée des Beaux-Arts de Montréal afin de documenter des photos accompagnant le deuxième texte du blogue au sujet de l’exposition consacrée à Napoléon (texte qui devait être publié le lendemain).

Ce soir-là, des bénévoles costumés accueillaient les visiteurs.

Disposant de tout le matériel qui leur était nécessaire, des dizaines de visiteurs s’affairaient au sous-sol à créer des couronnes de laurier dorées.

Papa, fiston et fillette (dans la poussette) assouplis

Après cette soirée bien remplie, c’était le temps du retour à la maison.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (5e, 6e, 9e et 10e photos), M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (1re et 2e photos), et M.Zuiko 25 mm F/1,2 (les autres photos).
 1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 12 mm
 2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 17 mm
 3e  photo : 1/125 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
 4e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
 5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 7 mm
 6e  photo : 1/25 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 13 mm
 7e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 400 — 25 mm
 8e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
 9e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 7 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 14 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
13e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche 2017

6 mars 2017

 

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C’est samedi dernier qu’avait lieu la Nuit blanche dans le cadre du festival Montréal en lumière.

Ce festival d’hiver — le plus important au monde — combine gastronomie, théâtre, cirque, danse, et art contemporain.

La nouveauté de sa 18e édition, c’était l’ajout d’un circuit de 3,6km (appelé Illuminart) le long duquel se répartissaient 25 installations lumineuses réalisées par des créateurs d’ici et d’ailleurs.

Si le volet gastronomique mettait en vedette la ville de Lyon, le festival célébrait également le cinquantième anniversaire de l’exposition universelle qui s’est tenue à Montréal en 1967.

Le diaporama ci-dessus présente quelques photos prises au cours de la Nuit blanche. Il comprend trois volets : l’esplanade du stade olympique, le site du festival, et le long du circuit d’Illuminart.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 et M.Zuiko 75 mm F/1,8.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche du festival Montréal en lumière 2016

28 février 2016
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Depuis le 18 février et jusqu’au 5 mars 2016 se tient la 17e édition du festival Montréal en lumière. Il s’agit du plus important festival d’hiver de la métropole.

L’évènement le plus populaire est sa Nuit blanche.

Hier soir, jusqu’à trois heures du matin, les principaux musées de la ville étaient ouverts gratuitement. Plus de 200 activités — concerts, danse, expositions, jeux — se déroulaient dans divers endroits reliés par des circuits que reliaient gratuitement des autobus. Bref, une joie festive s’est emparée de la ville.

Sur la photo ci-dessus, on peut voir en bas à droite une glissade en traineau. À gauche, des comptoirs alimentaires. En haut, à droite, la plus petite des deux scènes extérieures (l’autre est sur la Place des Festivals). Et en haut à droite, la Grande roue dite de Chine puisque cette année, la ville chinoise de Shenzhen est à l’honneur.

À peine visible sur la photo, un festivalier survole la foule à vive allure en tyrolienne.

Dôme Hello Kongzi

Dans ce pavillon, les visiteurs sont invités à créer un spectacle d’ombres chinoises.

Le Monde Hello Kongzi

Sur des marches menant à la Place des Festivals, des dizaines de Kongzi (mascottes de la ville de Shenzhen) forment une installation.

Braséro

À plusieurs endroits sur le site du festival, des visiteurs font griller de la guimauve ou des saucisses enrobées de pâte frite au-dessus de braséros. D’autres festivaliers s’y réchauffent les mains.

Tire d’érable

Une fois durcie sur de la neige, on fait adhérer la tire sur un bâtonnet qu’on fait pivoter sur lui-même pour l’enrouler de cette friandise.

Surf hivernal
Sculpture sur glace
Totem de glace

Quelques divertissements.

Espace dédié au dessein

J’ai profité de la soirée pour jeter un coup d’œil dans différents musées. Le premier fut le musée d’Art contemporain (MAC). Au rez-de-chaussée, des crayons de cire et des pinceaux sont à la disposition des enfants.

Installation vidéo de Ragnar Kjartansson

À l’étage, plusieurs salles sont consacrées à une exposition temporaire de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson.

L’œil et l’esprit

L’artiste québécoise Geneviève Cadieux a choisi quelques pièces de la collection permanente du musée pour en créer un aperçu.

Acquisitions récentes du MAC
File d’attente au musée Redpath

Le musée Redpath est un musée d’histoire naturelle inconnu de la grande majorité des Montréalais. J’ai voulu m’y rendre hier soir non seulement parce qu’il était gratuit mais surtout parce j’étais curieux de voir ce qu’avaient l’air ses squelettes sous un éclairage nocturne.

J’ai renoncé à cette idée devant la soudaine popularité du musée devant lequel une file d’attente s’étirait sur 0,2 km.

Je me suis donc dirigé vers le musée McCord, situé tout près.

Buée à l’entrée du musée McCord

À demeurer trop longtemps au froid, qu’arrive-t-il au matériel photographique dès qu’on pénètre dans un lieu chaud et humide ? Il se couvre de buée.

Pour les professionnels, la photo ci-dessus est ratée. Moi j’aime bien.

Chemise brodée nêhithawak ou métisse (1875-1900)

Au rez-de-chaussée, le musée présente l’exposition Porter son identité — La collection Premiers peuples., créée à partir d’items de sa collection permanente.

En plus, le musée présente plusieurs expositions temporaires qui se déroulent concurremment.

Montréal dans l’œil de Vittorio

Vittorio Fiorucci est un des trois plus importants graphistes de l’histoire du Québec. Le musée lui consacre présentement une rétrospective majeure.

Le Cirque de monsieur Lapin

Le Cirque de monsieur Lapin est une exposition temporaire de jouets.

Montréal – Points de vue

À partir de sa collection permanente, le musée présente Montréal – Points de vue. On y présente des objets tirés du quotidien des Montréalais depuis la fondation de la ville.

Ici naquit Montréal

Dernier lieu visité, le musée d’archéologie et d’histoire de Montréal dont la collection permanente était accessible gratuitement lors de cette Nuit blanche.

Voilà donc quelques-unes des activités qui étaient au programme de cette Nuit blanche. Une partie d’entre elles se poursuivent encore jusqu’à la fin de Montréal en lumière, le 5 mars 2016.

Pour terminer, voici une courte vidéo qui done une idée de l’atmosphère qui régnait au cours de la Nuit blanche.
 

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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, hypergone M.Zuiko 8 mm F/1,8 (9e, 10e, 11e et 12e photos), objectifs PanLeica 25 mm F/1,4 (2e, 4e, 5e, 8e et 15e photos), M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (1re, 16e, 17e, 18e et 19e photos) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
 1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 14 mm
 2e  photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 500 — 25 mm
 3e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 16 mm
 4e  photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 2000 — 25 mm
 5e  photo : 1/100 sec. — F/1,4 — ISO 200 — 25 mm
 6e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 13 mm
 7e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 19 mm
 8e  photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 320 — 25 mm
 9e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 8 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
13e photo : 1/40 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 12 mm
14e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 16 mm
15e photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 1250 — 25 mm
16e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 7 mm
17e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 12 mm
18e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 7 mm
19e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 7 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière 2015

2 mars 2015
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Du 19 février au 1er mars 2015 se tenait la seizième édition du festival Montréal en lumière.

Samedi soir dernier, j’ai été y faire un tour. Voici ce que j’en ai rapporté.

Détails techniques des photos : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectif Voigtländer 17,5mm F/0,95
1re photo : 1/125 sec. — F/1,8 — ISO 1600 — 17,5 mm
2e  photo : 1/100 sec. — F/1,8 — ISO 1250 — 17,5 mm
3e  photo : 1/125 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 17,5 mm
4e  photo : 1/125 sec. — F/1,8 — ISO 500 — 17,5 mm
5e  photo : 1/125 sec. — F/1,8 — ISO 500 — 17,5 mm
6e  photo : 1/125 sec. — F/1,8 — ISO 5000 — 17,5 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière 2014

3 mars 2014

Montréal en lumière est le plus important festival annuel d’hiver à Montréal. Depuis sa naissance en l’an 2000, il se déroulait principalement dans le Vieux-Port et dans le Vieux-Montréal.

Pour son quinzième anniversaire, on a déplacé la majorité de ses activités extérieures au Quartier des festivals.

Samedi soir dernier, en sortant de la représentation de l’opéra chinois La tragédie du Prince Zidan, j’en ai profité pour aller sur le site du festival (adjacent à la Place des Arts).

Tout le quartier était noir de monde, principalement de jeunes adultes.

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À gauche, on peut voir la grande roue Air France. Au centre, c’est l’iglou Provigo — à l’intérieur duquel la 2e photo a été prise — et à droite, la longue glissade urbaine (en vedette au début de la vidéo ci-dessous).

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Voici Nucléus, un grand cube à partir duquel des faisceaux laser étaient projetés sur trois panneaux transparents disposés tout autour.

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Sur cette photo, on peut voir la foule réunie sur la Place des Festivals (transformée en piste de danse d’une immense discothèque à ciel ouvert).

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Ici on a un exemple de jeu aménagé pour amuser les enfants.

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Prise à la sortie de la station de métro Saint-Laurent, cette photo donne un aperçu de l’exposition La fonte des Tropiques du photographe Matthieu Rytz. Cette installation recourt à des structures de glace comme cadre de diffusion photographique.

La courte vidéo ci-dessous — malheureusement muette — donne une idée de l’ambiance qui régnait à ce festival.
 

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Détails techniques des photos : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 13 mm
2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 32 mm
3e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 17 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 28 mm
5e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 29 mm
6e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 19 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel