Deux semaines à Palm Desert (10e partie)

23 octobre 2019

De Palm Spring à Montréal

Lorsqu’ils achètent leur billet d’avion, les passagers ont la possibilité de choisir leurs sièges à l’avance. Dans le cas des sièges les mieux placés (ceux près des hublots, notamment), les transporteurs exigent le paiement d’un supplément.

J’ignorais qu’il suffisait de s’abstenir de le faire pour que ces sièges soient attribués gratuitement lorsque l’avion est à moitié plein.

Ce fut mon cas au retour de Palm Desert, à la fois sur le vol Palm Spring-Los Angeles et celui Los-Angeles-Montréal. Sans payer de frais supplémentaires, j’ai été placé près d’un hublot dans les deux cas.




 
Puisqu’il n’existe pas d’aéroport régional à Palm Desert, je me suis rendu à celui d’une ville voisine, Palm Spring.

Cet aéroport est assez simple, doté d’une galerie marchande à l’air libre, simplement recouverte d’une canopée.

Pour se rendre à l’avion situé à quelques pas de l’aérogare, que fait-on ? Eh bien, on marche.


 
Une heure après le décollage, le centre-ville de Los Angeles est déjà sous nos yeux.




 
À l’aéroport international de Los Angeles, on a eu la bonne idée de placer à la hauteur des yeux certains des tableaux indiquant l’horaire des départs et des arrivées.

Dans l’attente du vol Los Angeles-Montréal, j’ai fait cirer mes souliers, ceux que je ne porte qu’au cours de mes vacances, trois semaines par année, les mêmes depuis quatorze ans.


 
Le plan du vol est simple; après un léger détour vers le sud, on file directement à Montréal.


 
L’avion parti de Los Angeles étant plus gros et plus puissant, on atteint la vallée de Coachella en 20 minutes, soit la distance qui nous a pris une heure sur l’avion précédent.


 
Ci-dessus, le sud de la vallée de Coachella et la rive nord de la mer de Salton.

On notera le contraste entre l’aspect verdoyant de la vallée et l’aridité des environs.


 
Ici, il s’agit d’un immense parc solaire près de la ville californienne d’Eagle-Mountain.


 
Ces structures étranges sont des champs circulaires créés par de l’irrigation à pivot central. Ceux qu’on voit sont situés près de la localité de Napi Headquarters, au Nouveau-Mexique.


 
Autre lieu bizarre : on dirait un réseau d’électrodes autour d’un plan d’eau en forme de racine de ginseng.

Je crois deviner qu’il s’agit simplement de lieux déboisés autour du lac Navajo. Celui-ci est le plus important un réservoir d’eau potable du Colorado, créé par le barrage Navajo.


 
Après un vol de 5h10 (celui de Los Angeles à Montréal), nous voilà de retour à l’aéroport Trudeau.

C’est ainsi que s’achève ce voyage au sud-ouest des États-Unis.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
  1re photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 31 mm
  2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
  3e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 19 mm
  4e  photo : 1/8000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 12 mm
  6e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 12 mm
  7e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 35 mm
  9e  photo : 1/5000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
10e  photo : 1/6400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
11e  photo : 1/8000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 26 mm
12e  photo : 1/5000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 15 mm
13e  photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
14e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 22 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel