Francos de Montréal 2023 – jour 2 (le 10 juin)

Publié le 11 juin 2023 | Temps de lecture : 3 minutes
Brö (France)
Lilison di Kinara (Guinée-Bissau)
Julien Granel (France)
Kanen (Innue québécoise)
Ben PLG (France)
Bon Enfant (Québec)
Kalika (France)
Monk.E (Québec)
Roxane Bruneau (Québec)
Jonathan Personne (Québec)
Matiu (Innu québécois)

J’aime les Francos. Premièrement parce que la musique y est bonne. Et lorsque ce n’est pas le cas, il suffit d’aller à une autre scène; on finit toujours par trouver quelque chose à son gout.

Et secondairement, c’est une occasion de faire du portrait alors le narcissisme contemporain fait en sorte que tout le monde veut contrôler son image. Ce qui rend la photographie de rue, par exemple, presque impossible.

Vendredi soir, il pleuvait légèrement. Et hier matin (donc samedi), j’hésitais. Non pas en raison du risque de pluie (qui était nul), mais par crainte au sujet de la qualité de l’air.


 
La pollution causée par les incendies de forêt est principalement constituée de minuscules particules de suie dont la taille est inférieure à 2,5 microns (les PM2,5). La normale annuelle pour Montréal est de 11,2 mcg/m³.

Samedi matin vers 10h, elle était de 13, ce qui est plutôt bien. Mais à 17h, elle était tombée à 5. Je n’avais donc plus aucune raison d’hésiter.

Cette année, on a judicieusement fait plus de place aux artistes autochtones qui choisissent de s’exprimer dans leur langue et en français. Ce qui nous permet de découvrir leur talent.

Et parmi les spectacles auxquels j’ai assisté hier, mon préféré a été la joviale prestation disco-funk de Julien Granel. Suivie de la pop mélodieuse de Bon Enfant. Et, pour terminer, le rock très ‘années 1960’, d’inspiration britannique, de Jonathan Personne.

À 23h30, on annonçait la prestation surprise de Gab Bouchard, que j’aime bien.

Mais l’idée de rester aussi tard sur le site — après l’avoir parcouru de long en large pendant plus de cinq heures — et de pédaler cinq kilomètres à vélo afin de rentrer chez moi, m’est apparu au-dessus de mes forces.

Donc, j’ai raté cette prestation surprise. Mais c’est partie remise.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  2e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 125 mm
  3e  photo : 1/250 sec. — F/3,2 — ISO 400 — 110 mm
  4e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
  5e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 73 mm
  6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 150 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
  8e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 150 mm
  9e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
10e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 150 mm
11e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 60 mm

Un commentaire

| FrancoFolies | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


De verre et de métal

Publié le 8 juin 2023 | Temps de lecture : 1 minute
Cliquez sur l’image pour l’agrandir

J’aime prendre une photo d’un intérêt limité et de la transformer sans but précis jusqu’à ce que le tout m’apparaisse abouti.

Ici, les personnes perspicaces devineront peut-être à partir de quoi cette structure monumentale (partiellement vraie) est née…

2 commentaires

| Photographie, Photographie abstraite, Sculpture | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Et Bam

Publié le 20 avril 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Cliquez sur l’image pour démarrer

Préambule : Jusqu’à récemment, je ne connaissais pas cette chanson qui, pourtant, a connu un énorme succès en Europe. Pour ceux qui ne l’ont jamais entendue, en voici les paroles. Ci-dessous, a été placée en italiques, la partie du texte qui n’est pas chantée par la Française Sherley Paredes à The Voice Portugal.

 
Gare du Nord en novembre, les cheveux en pagaille
Comme une boule au ventre qui me tend, qui me tord
Et Paris qui s’étale
Tout à coup, me voilà, les jambes fébriles
Qu’elle est grande pour moi cette scène imposante où tout devient fragile

Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique

(Envolée, mon enfance, mais jamais rien n’efface
Les rêves ou la violence, ah oui, ça vous glace, mais c’est pour ça qu’on chante
Donnez-moi d’échouer et que vienne la pluie
On ne m’ôtera jamais que j’ai déjà gagné de nouveaux amis
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
)

Et plus fort que ma voix, je l’entends frapper
Ce cœur qui bat et balaie mes larmes et mes pourquoi

Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat

Et bam, et bam
Sur la musique
Messieurs, mesdames me voilà
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat.

© 2021 – Vianney

Laissez un commentaire »

| Culture, Musique | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière 2023 (en infrarouge)

Publié le 20 février 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Prismaphonik sur l’esplanade de la Place des Arts
Vue du site d’ouest en est
Grande Roue vue de l’intérieur d’Iceberg

Après une première visite vendredi dernier, je suis retourné sur le site de Montréal en lumière le lendemain soir pour expérimenter la photo de nuit à l’infrarouge.

Pour que celle-ci se distingue d’une simple photo en couleur, il doit y avoir une souche de rayonnement infrarouge. Le jour, c’est simple; c’est le soleil.

Mais la nuit…

Dès le départ, j’ai dû renoncer à utiliser les trois filtres de l’infrarouge Rose bonbon car ils assombrissaient trop l’image.

Dans les photos ci-dessus, seul un filtre bleu Hoya C12 a été utilisé.

Dans la première de cette série, la colonnade de la Place des Arts est teintée rose. Ce qui prouve que même la nuit, certaines sources lumineuses émettent du rayonnement infrarouge (partiellement bloqué par le filtre d’Hoya).

Toutes ces photos manquent de netteté comme si le stabilisateur d’image de mon appareil n’avait pas fonctionné. En dépit de ce défaut, j’aime bien le résultat.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif PanLeica 8-18mm + filtre bleu Hoya C12
1re photo : 1/40 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
2e  photo : 1/25 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
3e  photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 11 mm

Laissez un commentaire »

| Culture, Festivals, Infrarouge couleur, Montréal en lumière, Photo infrarouge | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière, édition de 2023

Publié le 18 février 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Entrée du site à l’ouest, sur Sainte-Catherine
Entrée de l’Ilot Balmoral
Optik (par Urban Conga)
Sentier de patin Banque Scotia
Iceberg (d’APPAREIL architecture)
Grande Roue Loto-Québec
Les cinq tubes illuminés de la Glisse vite Tim Horton
Prismaphonik (de William Simard, Anthony Gagnon Boisvert)
Projections lumineuses sur la Maison symphonique
Prismatica (de RAW Design)
Patinoire de l’esplanade Tranquille

Interrompu en 2021 en raison de la pandémie, le festival Montréal en lumière est de retour cet hiver jusqu’au 5 mars 2023 pour sa 24e édition.

En plus de son volet musical et son volet gastronomique — qui met en vedette cette année des chefs scandinaves — le festival inaugure le Sentier de patin qui, à la différence d’une patinoire rectangulaire ou carrée, est un circuit en boucle, surélevé et long de 300 mètres, qui sillonne la place des Festivals.

Ce sentier fait symétrie avec la patinoire de l’esplanade Tranquille, de forme plus traditionnelle, située à l’autre extrémité du site.

Pour terminer, rappelons qu’il suffit de cliquer sur une des images ci-dessus pour l’agrandir.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 25 mm F/1,2 (4e et 9e photos) et PanLeica 8-18 mm (les autres photos)
  1re photo : 1/160 sec. — F/3,4 — ISO 1600 — 12 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 17 mm
  3e  photo : 1/40 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/3,6 — ISO 4000 — 14 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/3,1 — ISO 2500 — 9 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm
10e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 25 mm
11e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm

Un commentaire

| Culture, Festivals, Montréal en lumière | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Les danses du swing

Publié le 24 décembre 2022 | Temps de lecture : 3 minutes

Introduction

Originellement, le swing est un style musical issu du jazz, caractérisé par son rythme animé et bondissant. C’est sur ce rythme que sont nés le charleston et diverses danses apparues entre 1920 et 1940.

Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, ces danses prirent le nom collectif de ‘danse du swing’. À l’époque, chacune d’entre elles conservait son nom. La version la plus folle et la plus déjantée du swing fut le Lindy Hop (souvent appelé jitterbug).

Au cours de la décennie qui suivit la libération de la France en 1945, le jitterbug, prisé des soldats américains, fit fureur dans les clubs de jazz parisiens. Sous son aspect improvisé (habituelle feint en raison de sa virtuosité), il symbolisait alors un élan de liberté après des années de privation.

Déjà concurrencé par le Rock’n Roll dès la fin des années 1950, le swing tomba en désuétude dans les années 1970.

Toutefois, à titre d’ancêtre des danses de rue improvisées actuelles, les danses du swing rencontrent de nouveaux adeptes.

Interrompus sous la pandémie, de nombreux festivals de swing aspirent à renaitre.

Les festivals non compétitifs

Cliquez sur l’image pour démarrer

Devant une foule assise par terre à l’avant et debout à l’arrière, des danseurs, seuls ou en couple, s’emparent successivement de la piste de danse au son d’un orchestre réduit. C’est la formule des festivals non compétitifs.

Les festivals compétitifs

Cliquez sur l’image pour démarrer

Contrairement aux télécrochets — comme l’émission Révolution — la plupart des festivals compétitifs de swing sont basés sur l’improvisation. De manière à être fidèles aux origines du jazz.

C’est l’essentiel qu’ils en ont retenu puisque depuis le début de ce siècle, le swing intègre un grand nombre de rythmes de musique pop.

Les couples sont formés par tirage au sort. Le hasard réunit donc des couples du même sexe ou de sexes différents. Et la musique qui accompagne ces improvisations, d’une durée de deux ou trois minutes, est alors moins rapide que celle, effrénée, utilisée par les festivals non compétitifs.

Depuis deux jours, je me suis plongé sur Youtube dans l’univers joyeux du swing. Histoire de baigner dans l’esprit des Fêtes.

Je vous invite à y faire un tour…

Références :
Swing (danse)
West Coast Swing

Voici quelques festivals de swing (renommés avant la pandémie) dont on trouvera des vidéos sur Youtube : le volet ‘swing’ du Bavarian Open, le Berlin Swing Revolution, le Jazz Roots Battle (à Paris), le Montreal Swing Riot, le Prague Xmas Swing, le Scandinavian Open WCS (à Stockholm), le Swingtacular (à San Francisco), The After Party (près de Los Angeles), le Warsaw Halloween Swing, le West Coast Swing Budafest, le Westie Pink City (à Toulouse), le West in Lyon, et le West Zouk Time (à Brno).

Laissez un commentaire »

| Culture, Danse | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Soir d’hiver

Publié le 18 novembre 2022 | Temps de lecture : 1 minute
Cliquez sur l’image pour l’agrandir

Interné dans une institution psychiatrique dès l’âge de 19 ans jusqu’à sa mort le 18 novembre 1941 (à 61 ans), Émile Nelligan est le plus connu des poètes québécois.

Composé en octosyllabes vers 1898, ‘Soir d’hiver’ est un de ses poèmes les plus connus.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu B+W KB20 + filtre bleu 80C de Calumet + filtre polarisant PL-CIR d’Hoya
Photo a été modifiée en post-traitement à l’aide de Topaz Studio ; les modules logiciels Broken Bits et Starlight Glitter ont été appliqués.

Un commentaire

| Culture, Poésie | Mots-clés : , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Jardins de lumière 2022 : au Jardin de Chine

Publié le 6 octobre 2022 | Temps de lecture : 3 minutes













 
À l’origine, ‘Jardins en lumière’ était essentiellement une exposition de lanternes chinoises.

Fabriquées à Shanghai, celles-ci étaient — et demeurent encore — des structures fantaisistes en fil de fer recouvertes d’une membrane colorée, le tout éclairé de l’intérieur.

Depuis trois décennies, cet évènement culturel automnal s’est enrichi de volets très différents au Jardin japonais et au Jardin des Premières-Nations. Toutefois, l’exposition de lanternes au Jardin de Chine est demeurée au cœur de ‘Jardins en lumière’ et le volet le plus apprécié des visiteurs.

Le thème de cette année est ‘Pangu : ce géant qui créa le monde’. Pour illustrer ce thème ambitieux, on a fait appel à des techniques audiovisuelles spectaculaires dont témoigne l’extrait vidéo ci-dessus.

Voici ce qu’en dit le programme de l’exposition :

On raconte qu’avant que le monde existe, l’univers ressemblait à un œuf gigantesque où se mêlaient le Ciel et la Terre. À l’intérieur, tout était chaos et obscurité. Pourtant Pangu y dormait paisiblement.

À son réveil, 18 000 ans plus tard, il ouvrit ses énormes mains et, dans un puissant coup rappelant le tonnerre, il brisa la paroi de cet œuf devenu trop petit pour lui. Tous les éléments figés depuis des milliers d’années se répandirent alors dans tous les sens.

Pangu dû travailler pendant 18 000 autres années pour les remettre en place. Il commença par tenir le Ciel à bout de bras pour le séparer de la Terre. À la fin, épuisé par tant d’efforts, il s’effondra.

Son corps commença alors à se transformer. Sa chair devint le sol fertile, son sang les fleuves, sa sueur la pluie, ses os les pierres précieuses, sa chevelure les arbres et les plantes, ses yeux le Soleil et la Lune, son souffle le vent, sa voix le tonnerre et les poux et les puces de son corps… les êtres humains.

Finalement, les quatre membres de Pangu établirent les quatre points cardinaux où règnent aujourd’hui la Tortue noire du Nord, l’Oiseau vermillon du Sud, le Dragon azur de l’Est et le Tigre blanc de l’Ouest, lesquels, selon certains, auraient aidé Pangu à accomplir sa colossale tâche de création du monde.

Compléments de lecture :
Jardins de lumière 2022 : au Jardin des Premières-Nations
Jardins de lumière 2022 : au Jardin japonais

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 (1re, 8e, 9e, 11e et 13e photos), M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (2e photo) et M.Zuiko 12 mm F/2,0 (les autres photos)
  1re photo : 1/60 sec — F/1,2 — ISO 6400 — 25 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 14 mm
  3e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 400 — 12 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1600 — 12 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 320 — 25 mm
10e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 320 — 12 mm
11e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
12e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 1000 — 12 mm
13e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 800 — 25 mm

Laissez un commentaire »

| Culture, Exposition, Jardins de lumière, Photos de Montréal, Photos de voyage, Photos du Canada | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Jardins de lumière 2022 : au Jardin japonais

Publié le 5 octobre 2022 | Temps de lecture : 1 minute











 
Depuis des années, la projection de lumière colorée sur la végétation du Jardin japonais est la signature visuelle du volet japonais de l’exposition Jardins de lumière.

C’est en cela qu’il se distingue du volet chinois puisqu’à côté, au Jardin de Chine, ce qu’on présente est essentiellement une exposition de lanternes chinoises.

Compléments de lecture :
Jardins de lumière 2022 : au Jardin des Premières-Nations
Jardins de lumière 2022 : au Jardin de Chine

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 (6e photo) et M.Zuiko 12 mm F/2,0 (les autres photos)
  1re photo : 1/50 sec — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 4000 — 12 mm
  3e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 250 — 12 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 320 — 12 mm
  5e  photo : 1/25 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  6e  photo : 1/25 sec. — F/1,2 — ISO 4000 — 25 mm
  7e  photo : 1/10 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  8e  photo : 1/30 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  9e  photo : 1/20 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
10e  photo : 1/25 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm

Laissez un commentaire »

| Exposition, Jardins de lumière | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Jardins de lumière 2022 : au Jardin des Premières-Nations

Publié le 3 octobre 2022 | Temps de lecture : 2 minutes

Au Jardin botanique de Montréal, l’édition 2022 de l’exposition ‘Jardins de lumière’ se déroule dans trois lieux : au Jardin des Premières-Nations, au Jardin japonais et au Jardin de Chine.

Le circuit proposé aux visiteurs leur suggère de débuter leur visite au plus éloigné d’entre eux, soit le Jardin des Premières-Nations.
 

 
Sur le chemin pour s’y rendre, on assiste à une projection lumineuse intitulée ‘Chœur de loup’, où une lune colorée se lève au son du gueulement de loups.
 

 
Une demie-lune lumineuse marque l’entrée officielle du circuit au travers du Jardin des Premières-Nations alors que la poétesse Joséphine Bacon récite un de ses poèmes à la fois en innu et en français.
 

 
Le long d’un sentier sombre au travers des bois, diverses installations lumineuses sollicitent les visiteurs dont celle qui peint de couleurs l’Arbre sacré, un peuplier géant qui symbolise le cycle de la vie.
 






 
À mi-parcours, les présentoirs destinés à donner un aperçu des cultures autochtones sont particulièrement attrayants lorsqu’ils sont parés, comme ici, de leur éclairage nocturne.


 
Comme pour boucler la boucle, le mot de la fin est laissé à Joséphine Bacon qui récite ici un de ses poèmes les plus célèbres, extrait de son recueil ‘Un thé dans la toundra’.

Compléments de lecture :
Jardins de lumière 2022 : au Jardin japonais
Jardins de lumière 2022 : au Jardin de Chine

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 12mm F/2,0
  1re photo : 1/10 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  2e  photo : capture d’écran d’un clip vidéo
  3e  photo : 1/6 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 3200 — 12 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 800 — 12 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/2,0 — ISO 640 — 12 mm
10e  photo : 1/50 sec. — F/2,0 — ISO 6400 — 12 mm

Laissez un commentaire »

| Culture, Évènements, Jardins de lumière | Mots-clés : | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel