Salle de l’opéra Garnier
Morpho blanc
Qu’il s’agisse d’amateurs d’opéra anticipant le plaisir qui suivra le lever de rideau ou d’un papillon affamé s’apprêtant à entreprendre son premier vol de la journée, l’espoir est essentiel au bonheur.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, hypergone 8 mm F/1,8 (1re photo) et objectif 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14 (2e photo)
1re photo : 1/80 sec. — F/1,8 — ISO 3200 — 8 mm
2e photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 85 mm
D’où vient-elle cette phrase ? Des profondeurs de l’Ame ?
Aie-je lu cela quelque part ? Probablement.
Adolescent, je croyais avoir trouvé les trois ingrédients essentiels au bonheur.
Le seul dont je me rappelle est l’espoir.
De nos jours, si on devait me forcer à suggérer un deuxième ingrédient, je me risquerais à proposer l’empathie.
Ce qui rejoint le concept étrange des malheurs artificiels, ceux-ci reposant implicitement sur l’empathie.
AUX SYNONYMES…
Une phrase, quelques mots à travers lesquels, j’ai repensé aux Malheurs artificiels…
Alors, en attendant de vous transmettre le 3e ingrédient du Bonheur… hier, j’ai tiré la phrase suivante : “La compassion est un état de constant don de soi envers les autres.”, en choisissant un sachet de tisane !
Pour passer un bon Dimanche…, hier, j’ai tiré : “Le Bonheur est un art de vivre qui est en chacun de nous.”.
En attendant, je cherche toujours désespérément le 3e ingrédient…
A JEAN-PIERRE…
Avant le dernier sachet de tisane, j’avais écrit :
Ne comptez pas sur Moi pour vous délivrer le 3e ingrédient… Je ne détiens pas encore la recette du Bonheur… On ne mélange pas tous les ingrédients dans le caquelon… Le Bonheur ne fond pas, au fond du caquelon, comme un bon vieux morceau de Comté…
Si la Vie est un Chemin (nous dit l’Ostéopathe), si nous mettons une vie à devenir humain (entendu, un jour, dans ma bagnole), je dirais que le Bonheur se construit, peu à peu, jour après jour, en croquant certaines choses de la Vie, à pleines dents. Même si, au premier jour, j’ai fondu sous quelques mots… ; aujourd’hui, je continue à croquer certains de vos textes… au bout desquels, souvent, je dis que j’écrirai une suite… Je sais, j’ai encore du boulot…
Le Don envers les autres est éternel… C’est ça aussi, le Bonheur : écrire des choses correctes ou intéressantes, qui ne lassent pas les lecteurs…
Les mots sont, donc, remplis, d’espoir. Ce sont, au fond, peut-être eux qui nous le donnent… comme le Soleil rouge…
Finalement, ce sont ceux qui les emploient qui ont peut-être le plus besoin d’espoir pour vivre…
Va savoir : certains ont peut-être besoin d’écrire des bouquins pour donner du Sens à leur vie ?
Ecrire devient peut-être nécessaire à Certains, pour vivre ou pour garder espoir ?
Et oui, les mots servent, peut-être, aussi, à laver l’Ame, à se libérer du Pire que l’on a en Soi et que l’on ne connaît pas encore ?…, pour l’atteindre le Chemin du Bonheur…
Je sentais aussi “L’Instinct maternel” en plus des “Malheurs artificiels”. Parce qu’à la naissance, on n’hérite pas seulement de caractères génétiques, on hérite, aussi, de certains sentiments (le Meilleur et le Pire, je dirais) et certains d’entre eux, entretenus depuis des générations peuvent nous créer du tort dans nos vies personnelles.
Merci J-Pierre, avec cette empathie, je pourrai démarrer, plus sereinement, une suite à votre “Instinct maternel”.
En conclusion, je dirais que je n’ai pas de recette miracle, ni d’ingrédient préféré, je crois que le meilleur ingrédient au Bonheur est inscrit au fond de Nous… et, c’est celui qui nous donne, tout simplement, du Sens à nos vies !