Les Francos du 21 juin 2025

Publié le 24 juin 2025 | Temps de lecture : 3 minutes

Alice

Ce samedi 21 juin était la dernière journée des Francos de cette année.

Arrivé sur le site du festival vers 17h30, j’ai juste eu le temps de voir la seconde partie du récital d’Alice sur la scène des Brasseurs de Montréal.


Assiette de sandwich à la viande fumée

Avant d’aller voir le spectacle à l’affiche de 18h à 19h, je me suis procuré un sandwich à la viande fumée à la cantine mobile Dédé cuisine.

La portion de viande parait ici assez petite : en réalité, elle était adéquate. Toutefois, je me suis lassé très vite des frites faites à partir de frites congelées.

Alex Pic

Une fois rassasié, j’ai pu voir Alex Pic sur la scène Loto-Québec. Énergique et heureux d’être là, cet auteur-compositeur nous a fait passer un bon moment.

Papi Jay

De 19h à 20h, deux spectacles avaient lieu simultanément. D’abord le Québécois Papi Jay présentait son répertoire R&B sur la scène Spotify…

Sara Dufour

…alors que Sara Dufour présentait ses séduisantes compositions country-rock sur la scène Rogers.

Shreez

J’ai passé en coup de vent devant la scène Loto-Québec où le rappeur Shreez se produisait…

Arøne

…pour aller voir sur la scène Desjardins l’autrice-interprète bretonne Arøne (qui m’a laissé sur mon appétit).






Salebarbes

À 21h, sous un ciel humide, le quintette Salebarbes était en vedette à la Place des Festivals.

Des spectacles que j’ai vus cette année aux Francos, celui de Salebarbes est le seul qui fut davantage qu’un récital, c’est à dire une suite de chansons accompagnées (ou non) d’une courte présentation.

Ici, la mise en scène subtile du spectacle répondait au souci de mettre en vedette chacun des membres du groupe et de le faire briller.

Or justement, chacun des membres du groupe a eu une carrière solo (ou aurait pu en avoir une) tellement ces artistes maitrisent leur art à la perfection.

Toute la soirée, l’éclairage de scène rappelait celui des théâtres avant l’apparition de l’éclairage électrique, alors que les comédiens ou les chanteurs étaient éclairés par des rangées de bougies disposées au sol devant eux.

Ceux qui connaissent et apprécient ce groupe (je suis du nombre) s’attendaient à un spectacle de haute qualité et c’est précisément ce que Salebarbes a présenté généreusement pendant 90 minutes.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8.
  1re photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 200 — 40 mm
  2e  photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 200 — 150 mm
  3e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  4e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  5e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 110 mm
  6e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 142 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 64 mm
  9e  photo : 1/20 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 150 mm
10e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 70 mm
11e  photo : 1/120 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
12e  photo : 1/50 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
13e  photo : 1/40 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
14e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
15e  photo : 1/30 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 90 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les Francos du 18 juin 2025

Publié le 20 juin 2025 | Temps de lecture : 3 minutes

Kourage

Lauréat du premier prix à l’édition 2024 du concours Ma première Place des Arts, Kourage est déjà un artiste accompli. Très à l’aise sur scène, maniant l’autodérision dans la présentation de ses chansons, ce Louperivois (c’est-à-dire citoyen de Rivière-du-Loup) compose une pop séduisante qui m’a beaucoup plus.


Cantine des Brasseurs de Montréal

Et pendant que Kourage occupait la scène du pub des Brasseurs de Montréal de 17h à 18h, je me suis laissé tenter par ce ‘Houmous et pois chiches’ offert à deux pas.

Marie-Pierre Arthur

De 18h à 19h, sur la scène Loto-Québec, Marie-Pierre Arthur présentait le spectacle conçu autour de son plus récent opus, l’Album bleu devant un public conquis.


Malik Djoudi

De 19h à 20h les festivaliers étaient sollicités simultanément par Malik Djoudi sur la scène Rogers et par La Traversée sur la scène Spotify.

Le premier est un auteur-compositeur-interprète français qui nous a présenté son répertoire teinté d’émotion et de mélancolie.





La Traversée

Le quatuor La Traversée est né de la collaboration des Francos de Montréal et de celui de La Rochelle. Deux jeunes Québécois et deux jeunes Français ont uni leurs talents pour produire en peu de temps le spectacle présenté ici.

Ci-dessus, les photos individuelles présentent la Québécoise Vanille, le Français James Baker et la Française Coline Rio. Du lot, c’est cette dernière, soprano, qui s’est le mieux distinguée.

Malko

De 20h à 21h, deux spectacles se déroulaient simultanément. D’abord celui de Malko sur la scène Desjardins…


Galaxie

…et celui, énergique et bruyant, de Galaxie sur la scène Loto-Québec.


Tiken Jah Fakoly

Le clou de la soirée fut sans contredit le spectacle de Tiken Jah Fakoly.

Je dois vous avouer que je ne connaissais pas cet artiste extraordinaire, originaire de la Côte-d’Ivoire. J’ai été renversé par son talent.

À plusieurs reprises, l’assistance connaissait par cœur le texte de ses chansons engagées.

Son interprétation de Plus rien ne m’étonne fut un grand moment d’émotion.

Chapeau bas, monsieur Tiken Jah Fakoly.

Comme d’habitude, on cliquera sur une photo pour l’agrandir.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 (16e photo) + multiplicateur de focale MC-14 (les autres photos)
  1re photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 640 — 56 mm
  2e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 150 mm
  3e  photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 70 mm
  4e  photo : 1/1000 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 56 mm
  5e  photo : 1/400 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm
  6e  photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 320 — 70 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 3200 — 210 mm
  8e  photo : 1/400 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 56 mm
  9e  photo : 1/1000 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 150 mm
10e  photo : 1/320 sec. — F/4,5 — ISO 640 — 210 mm
11e  photo : 1/190 sec. — F/4,5 — ISO 400 — 190 mm
12e  photo : 1/160 sec. — F/4,5 — ISO 6400 — 200 mm
13e  photo : 1/200 sec. — F/4,5 — ISO 3200 — 90 mm
14e  photo : 1/250 sec. — F/4,5 — ISO 1600 — 210 mm
15e  photo : 1/320 sec. — F/4,5 — ISO 5000 — 125 mm
16e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les Francos du 15 juin 2025

Publié le 16 juin 2025 | Temps de lecture : 6 minutes

Ces jours-ci, je me livre à une multitude d’expériences photographiques. Si bien que je suis en retard dans l’écoute des émissions télévisées que j’ai enregistrées (dont le Téléjournal de Radio-Canada).

C’est donc en début de soirée que j’ai appris que les Franco de Montréal débutaient il y a deux jours.

Or j’aime bien y assister. Les festivaliers sont plaisants. Le climat québécois est généralement chaud et beau en juin. Et le programme permet de découvrir des talents qui nous sont inconnus.

Bref, je me suis empressé d’y aller.

Ma première escale fut à un kiosque d’information pour y obtenir le programme du festival.

Cliquer sur la photo pour l’agrandir

Sur cette carte du site, j’ai ajouté une pièce de 10¢. Si vous cliquez afin de consulter sa copie à plus haute résolution et que vous la réduisez de manière à ce que cette pièce de monnaie apparaisse en taille réelle sur l’écran de votre ordinateur ou de votre tablette, vous verrez que les noms des scènes où se déroule le festival sont en petits caractères illisibles.

Pourtant, sur cette carte, il y a plein d’espaces gris pour identifier les scènes de manière lisible.

Selon les préposés au kiosque d’information, il faut utiliser son téléphone ‘intelligent’ pour agrandir la carte et pouvoir la consulter…

Blynk

Arrivé sur le site peu après 20h, mon premier arrêt fut à la scène Desjardins, où Blynk se produisait. Présenté comme une étoile montante de la scène R&B montréalaise, ce Lavalois né au Liban fusionne des influences occidentales et orientales (notamment par des mélismes dans sa manière de chanter).

Les Dales Hawerchuk

Au même moment les Robervalois du quatuor Les Dale Hawerchuk faisaient entendre leur rock alternatif, aussi vigoureux que bruyant, sur la scène Loto-Québec.

Leur spectacle fut le seul de la soirée à bénéficier d’un éclairage de scène digne de ce nom.

Le nom du groupe vient de celui du hockeyeur des Jets de Winnipeg, Dave Hawerchuck, dont les membres du groupe sont des admirateurs.

Je me suis attardé longuement à les écouter avec plaisir.



Kiosque de la SAQ

Sur mon chemin vers la scène principale du festival, j’ai été intrigué par le kiosque de la Société des alcools du Québec.

Ce kiosque est composé de quatre grandes alvéoles peu profondes décorées aux couleurs des pastilles qui décrivent les vins de la SAQ (exemple : Fruité et pétillant). Les festivaliers étaient invités à prendre place à l’intérieur de celle de leur choix.

Devant eux, une caméra, entourée d’un cercle lumineux, servait à la fois à les éclairer et à enregistrer un clip vidéo de quelques secondes.

Lorsqu’ils jugent ce clip intéressant, l’opérateur clique un bouton et l’écran affiche un code QR. Il suffit alors aux participants d’utiliser le lecteur QR de leur téléphone pour télécharger le clip et ainsi le publier sur leurs médias sociaux. Sur ke site de la SAQ, le clip est disponible pendant 24 heures.

P’tit Béliveau

Le grand spectacle de la soirée fut celui du P’tit Béliveau sur la scène Rogers de la place des Festivals.

Quelle extraordinaire leçon pour nous tous qu’offre P’tit Béliveau.

Oubliez ces artistes acadiens qui parlaient une langue savoureuse héritée de la région de la France où étaient nés leurs ancêtres. Ces artistes ont été remplacés par une nouvelle génération de chanteurs qui, tel le canari dans la mine, témoignent de l’état de louisianisation de la société acadienne.

À ceux qui voient positivement la bilinguisation de Montréal, réveillez-vous; notre bilinguisation collective n’est qu’une étape vers l’assimilation du peuple francoQuébécois. La parlure du P’tit Béliveau est le fruit d’une bilinguisation massive, quand toute une collectivité se dirige vers son extinction culturelle. C’est un bilinguisme asymétrique, caractérisé par un anglais parlé correctement, mais où le ‘français’ devient au fil des générations un patois à moitié compréhensible jusqu’à devenir dépourvu d’intérêt.

Comme les notables de l’Inde qui admiraient leur colonisateurs anglais au point de se costumer comme eux, P’tit Béliveau portait hier le kilt des mercenaires écossais qui ont déporté les Acadiens entre 1755 et 1763.

Triste spectacle.




Poutine Fish & Chips, le chef et son assistante

Ayant quitté promptement le P’tit Béliveau, je me suis dirigé vers la scène Spotify où un autre spectacle se déroulait.

C’est en passant devant une cantine qui offrait des mets à déguster sur le pouce que j’ai réalisé que j’avais faim.

En écoutant la prochaine artiste, pourquoi ne pas le faire en mangeant quelque chose d’aussi peu bruyant qu’une poutine ? pensais-je.

D’autant plus que celle que j’ai choisie, malgré son nom de Fish & Chips, est une poutine accompagnée d’une généreuse portion de morue panée. Donc sans chips.



Thaïs

Née a Paris, mais naturalisée Québécoise en bas âge, Thaïs (c’est son prénom) est une autrice-compositrice-interprète qui ne cachait pas sa joie d’être aux Francos en dansant au son de sa pop électro.

Maniant maladroitement mon appareil photo d’une main et ma poutine de l’autre, j’ai fait de mon mieux pour capter Thaïs dans l’épais nuage de propylène glycol au sein duquel elle a performé durant toute sa prestation.

Bref, un spectacle aussi sympathique que festif.

Victime

Apparemment, les organisateurs des Francos ont eu la bonne idée de donner congé à leurs éclairagistes pour la fête des Pères et de créer plutôt de l’atmosphère sur scène avec de la boucane de propylène glycol. Ce qui est beaucoup plus économique.

C’est donc dans un brouillard épais et sombre, pire que celui vu précédemment, que Victime a présenté son spectacle nocturne, habillée pour la circonstance d’un ample déshabillé vaporeux.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14
  1re photo : 1/500 sec. — F/9,0 — ISO 200 — 56 mm
  2e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 210 mm
  3e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 800 — 56 mm
  4e  photo : 1/200 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 85 mm
  5e  photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 73 mm
  6e  photo : 1/100 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 73 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 3200 — 210 mm
  8e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 56 mm
  9e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 2000 — 56 mm
10e  photo : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 56 mm
11e  photo : 1/50 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 87 mm
12e  photo : 1/50 sec. — F/4,5 — ISO 6400 — 56
13e  photo : 1/200 sec. — F/4,5 — ISO 3200 — 85 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Francos de Montréal 2023 – Spectacle de clôture (le 17 juin)

Publié le 21 juin 2023 | Temps de lecture : 3 minutes



 
La pluie a cessé quelques secondes avant le début du concert et aussitôt, tous les parapluies se sont fermés.

Le spectacle ‘Charlebois en CharleboisScope’ est un vaste panorama de la carrière de ce chanteur et musicien hors norme. Le tout était accompagné de clips d’animation psychédéliques ou de films d’archive mettant en vedette le jeune Charlebois.

Au début de sa carrière, la chanson québécoise se divise en deux camps qui se méprisent; les ‘chansonniers’ (seuls, accompagnés de leur guitare, comme Félix Leclerc) et les vedettes yéyés (qui enregistrent des versions françaises de succès américains ou britanniques).

Les premiers travaillent dans de minuscules ‘boites à chansons’ tandis que les seconds, beaucoup plus populaires, remplissent les arénas ou les sous-sols d’église.

Quand Charlebois se fait initialement remarquer sur la scène musicale, c’est par ses textes, écrits par des poètes (comme Claude Péloquin), un romancier (Réjean Ducharme), voire par un politicien (Pierre Bourgault). Et surtout, parce que sa musique ne ressemble à rien.

À son retour de Californie, Charlebois est le porte-étendard de la culture pop américaine d’avant-garde.

Après plus d’un demi-siècle, les chansons de Charlebois sont devenues des classiques. Mais d’un classicisme totalement neuf pour ceux qui le découvrent aujourd’hui.

Pour interpréter California, suivi de Lindberg, Charlebois, en tant que baryton, est au sommet de sa forme. Évidemment, pour ces deux chansons, il fait appel à sa partenaire de toujours, Louise Forestier.

Pour ceux qui ont eu le privilège de voir de près la performance de samedi soir, l’estime mutuelle de ces deux complices est évidente.

À 85 secondes avant la fin de Lindberg, quand Charlebois fait signe à Forestier qu’il lui laisse toute la scène pour improviser le reste, le public n’est pas acquis à la chanteuse; une partie de l’auditoire n’a jamais entendu parler d’elle et d’autres sont venus entendre Charlebois.

Après une première improvisation, inspirée de la musique de Lindberg, c’est un demi-échec; le public n’embarque pas.

Mais la chanteuse octogénaire a du métier. À une minute de la fin, elle se ravise et enchaine alors un air incantatoire d’inspiration autochtone. En quinze secondes, on entend déjà des centaines de jeunes à l’arrière chanter en chœur avec elle.

Dans les quinze autres secondes qui suivent, la frénésie s’empare de la foule, de l’arrière vers l’avant.

À 30 secondes de la fin, on n’entend plus Forestier tellement le public est déchainé.

Et quand la chanson est terminée, Louise Forestier savoure son triomphe, elle qui vient de réussir l’exploit de voler (amicalement) la vedette à Charlebois dans le chef-d’œuvre de ce dernier.

Du bout des bras dressés au-dessus de la tête, j’ai filmé les quatre dernières minutes de cette pièce d’anthologie.

Rendu chez moi, je me suis versé un verre de vin blanc et j’ai regardé en boucle ce clip vidéo jusqu’au moment d’aller au lit.

Et je me suis endormi le sourire aux lèvres…

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 110 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 150 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Francos de Montréal 2023 – jour 6 (le 14 juin)

Publié le 15 juin 2023 | Temps de lecture : 1 minute
Prinzly (Belgique)
Choses Sauvages (Québec)
Loud (Québec)

Glauque (Belgique)
Mon Doux Saigneur (Québec)

Hier soir, à l’issue d’un concert de musique baroque, j’étais libre durant la seconde moitié de la soirée. Alors pourquoi se priver du plaisir d’entendre gratuitement d’autres musiciens aux Francos de Montréal ?

Après avoir butiné des photos un peu partout sur le site, voici celles que j’ai rapportées.

Et parmi ce que j’ai entendu, ce que j’ai préféré fut le concert de Mon Doux Saigneur, sur la scène du Silo brasseur de Montréal.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 (5e photo) et M.Zuiko 75 mm F/1,8 (les autres photos)
1re photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 2500 — 75 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 75 mm
3e  photo : 1/200 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
4e  photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 1250 — 75 mm
5e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 800 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Francos de Montréal 2023 – jour 5 (le 13 juin)

Publié le 14 juin 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Ojos (France)
Rosie Valland (Québec)
Super Plage (Québec)
Chanteurs non identifiés
Roselle
Lumière et Fils Cara
Thaïs et Nikola
Manu Militari (Québec)
Ariane Roy (Québec)
Lisa Leblanc (Acadie)
Pogo Car Crash Control (France)
Thick Glasses (Québec)

À 8h, mercredi matin à Montréal, l’indice de la qualité de l’air était de 81. Mais après une pluie matinale, cet indice était tombé à 29 à 17h, ce qui est bon.

J’ai donc pris le métro jusqu’au site des Francos de Montréal. Au programme, du punk, du hip-hop, du heavy métal, des ballades, de la musique pop et du disco. Bref, de quoi satisfaire tous les gouts.

Les prestations que j’ai préférées ont été le spectacle disco de Lisa Leblanc, et celui énergique de Pogo Car Crash Control.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 120 mm
  2e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  3e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  4e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 150 mm
  5e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 150 mm
  6e  photo : 1/150 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 50 mm
  7e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 115 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 40 mm
  9e  photo : 1/320 sec. — F/3,2 — ISO 1600 — 150 mm
10e  photo : 1/250 sec. — F/3,2 — ISO 1600 — 120 mm
11e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 46 mm
12e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Francos de Montréal 2023 – jour 2 (le 10 juin)

Publié le 11 juin 2023 | Temps de lecture : 3 minutes
Brö (France)
Lilison di Kinara (Guinée-Bissau)
Julien Granel (France)
Kanen (Innue québécoise)
Ben PLG (France)
Bon Enfant (Québec)
Kalika (France)
Monk.E (Québec)
Roxane Bruneau (Québec)
Jonathan Personne (Québec)
Matiu (Innu québécois)

J’aime les Francos. Premièrement parce que la musique y est bonne. Et lorsque ce n’est pas le cas, il suffit d’aller à une autre scène; on finit toujours par trouver quelque chose à son gout.

Et secondairement, c’est une occasion de faire du portrait alors le narcissisme contemporain fait en sorte que tout le monde veut contrôler son image. Ce qui rend la photographie de rue, par exemple, presque impossible.

Vendredi soir, il pleuvait légèrement. Et hier matin (donc samedi), j’hésitais. Non pas en raison du risque de pluie (qui était nul), mais par crainte au sujet de la qualité de l’air.


 
La pollution causée par les incendies de forêt est principalement constituée de minuscules particules de suie dont la taille est inférieure à 2,5 microns (les PM2,5). La normale annuelle pour Montréal est de 11,2 mcg/m³.

Samedi matin vers 10h, elle était de 13, ce qui est plutôt bien. Mais à 17h, elle était tombée à 5. Je n’avais donc plus aucune raison d’hésiter.

Cette année, on a judicieusement fait plus de place aux artistes autochtones qui choisissent de s’exprimer dans leur langue et en français. Ce qui nous permet de découvrir leur talent.

Et parmi les spectacles auxquels j’ai assisté hier, mon préféré a été la joviale prestation disco-funk de Julien Granel. Suivie de la pop mélodieuse de Bon Enfant. Et, pour terminer, le rock très ‘années 1960’, d’inspiration britannique, de Jonathan Personne.

À 23h30, on annonçait la prestation surprise de Gab Bouchard, que j’aime bien.

Mais l’idée de rester aussi tard sur le site — après l’avoir parcouru de long en large pendant plus de cinq heures — et de pédaler cinq kilomètres à vélo afin de rentrer chez moi, m’est apparu au-dessus de mes forces.

Donc, j’ai raté cette prestation surprise. Mais c’est partie remise.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  2e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 125 mm
  3e  photo : 1/250 sec. — F/3,2 — ISO 400 — 110 mm
  4e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
  5e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 73 mm
  6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 150 mm
  7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
  8e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 150 mm
  9e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
10e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 150 mm
11e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 60 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal — le 19 juin 2019

Publié le 20 juin 2019 | Temps de lecture : 2 minutes

Arrivé sur le site des FrancoFolies quinze minutes avant la fin du trio de spectacles à l’affiche de 19h à 20h, je m’empresse de capter…

Mélanie Venditti

Mélanie Venditti sur la scène Sirius XM

Clément Jacques

Clément Jacques sur la scène Bell

Simon Kearney

et finalement Simon Kearney sur la scène du Quartier Brasseur de Montréal. Ouf !

Foé

Désireux d’entendre Luc de Larochellière, je passe devant le Foé sur la scène Hydro-Québec

MCM & Psychadelik

…et le duo de rapeurs MCM & Psychadelik sur la scène Desjardins pour atteindre…

Luc de Larochellière

…la scène Loto-Québec où Luc de Larochellière se produira jusqu’à 21h40 dans un programme célébrant le trentième anniversaire de la sortie de son premier album ‘Amère America’.

Au Bistro SAQ

Et pourquoi ne pas se faire plaisir ? Je m’installe la terrasse du Bistro SAQ pour assister au spectacle. Je commande un baguel au saumon fumé, accompagné d’un verre de rosé Le Mas des Patriotes Hortensiais (à l’étonnant bouquet à la framboise).

Émile Bilodeau

À mon arrivée tardive à la Place des Festivals, le talent et le charisme d’Émile Bilodeau meublent le grand concert de la soirée devant une foule aussi vaste que bavarde.

Navet Confit

Et pour terminer en beauté ma dernière présence aux FrancoFolies 2019 (qui se poursuivra jusqu’au 22 juin), j’assiste au spectacle de Navet Confit.

Merci aux organisateurs des FrancoFolies de célébrer l’excellence de la culture francophone et de nous en donner un si bel aperçu.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14
1re photo : 1/200 sec. — F/4,0 — ISO 250 — 87 mm
2e  photo : 1/200 sec. — F/4,5 — ISO 1250 — 102 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/4,5 — ISO 2500 — 150 mm
4e  photo : 1/320 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 210 mm
5e  photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 1000 — 56 mm
6e  photo : 1/250 sec. — F/4,5 — ISO 1250 — 180 mm
7e  photo : 1/80 sec. — F/4,5 — ISO 6400 — 120 mm
8e  photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 400 — 56 mm
9e  photo : 1/250 sec. — F/4,5 — ISO 5000 — 210 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal — le 18 juin 2019

Publié le 19 juin 2019 | Temps de lecture : 2 minutes
Les Marmottes aplaties

Arrivé 30 minutes avant la fin des trois spectacles à l’affiche de 19h à 20h, je ne suis passé brièvement devant la scène Siruis XM où se produisait le groupe punk Les Marmottes aplaties.

La Traversée

Pendant ce temps à la Place des Festivals, le spectacle La Traversée présentait huit chanteurs (quatre Canadiens et quatre Français) de la relève.

Juste Robert

Des trois, celui qui m’a définitivement le plus intéressé est Juste Robert au Quartier Brasseur de Montréal. Dans un style qui s’apparente à celui de Richard Desjardins, Juste Robert partage avec lui la même qualité d’écriture.

Malik Djoudi

Voulant absolument assister au spectacle de Stefie Shock à l’afficha à partir de 20h, je ne suis resté que quelques instants devant Malik Djoudi dont le répertoire électro-pop — caractérisé par de longues envolées lyriques — aurait mérité que je m’y attarde bien davantage.

O.G.B.

À la scène Desjardins, le septet O.G.B. (pour Original Gros Bonnet) n’a pas réussi à vaincre ma détermination d’aller entendre… vous savez qui.

Stefie Shock
Stefie Shock

De 20h à 21h20, Stefie Shock présentait son répertoire pop scène Loto-Québec. Pour faire court, j’ai beaucoup aimé.

Vulgaires Machins

À mon arrivée devant la scène Bell, le spectacle des Vulgaires Machins était déjà bien entamé devant une Place des Festival pleine.

Victime

À 22h, sur la scène Sirius XM, le trio Victime offrait une alternative tonitruante au grand concert de la soirée.

Rassuré quand au bon fonctionnement de mon ouïe, je suis rentré à la maison pour la nuit.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14
1re photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 800 — 125 mm
2e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 250 — 150 mm
3e  photo : 1/100 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 56 mm
4e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 1000 — 125 mm
5e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 640 — 56 mm
6e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 1000 — 56 mm
7e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 1250 — 210 mm
8e  photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 2000 — 90 mm
9e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 2000 — 125 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal — le 17 juin 2019

Publié le 18 juin 2019 | Temps de lecture : 3 minutes

C’est peu après 19h que je suis arrivé sur le site des FrancoFolies.

Comme d’habitude, de 19h à 20h, les festivaliers étaient sollicités par trois propositions.

Laurence-Anne

Originaire de Kamouraska, Laurence-Anne présentait un pop-rock alternatif séduisant sur la scène Sirius XM.

Claudio Capéo

À la Place des Festivals, difficile de résister au charisme de Claudio Capéo et à son immense talent mélodiste.

Geneviève Binette

Au Quartier des brasseurs de Montréal, l’auteure-compositrice Geneviève Binette complétait ce trio des spectacles offerts.

Oré

De 20h à 21h, nouveau trio de spectacles concurrents.

Sur la scène Desjardins, que d’énergie chez Oré, cette rapeuse française qui danse tout en débitant distinctement son texte à vive allure.

Déjà, cette soirée est ma préférée depuis le début du festival.

Anatole

Pendant ce temps, sur la scène Hydro-Québec (et dans la foule qu’il investit), Anatole présente un spectacle extravagant et burlesque.

Marc Déry
Marie-Pierre Arthur
Ariane Moffatt

La troisième proposition offerte aux festivaliers est le spectacle marquant le vingtième anniversaire artistique de Marc Déry.

Contrairement aux deux autres, ce spectacle durera 90 minutes. Plusieurs artistes se sont joints à M. Déry, dont Marie-Pierre Arthur, Ariane Moffatt, Florent Vollant, et la fille de Marc Déry.

Sans Pression

De 21h à 23h, le grand spectacle de la soirée fut celui du montréalais Sans Pression et de ses invités, devant une Place des Festivals noire de monde.

Laura Babin

Offrant une alternative à Sans Pression au cours de la deuxième moitié de son spectacle, l’auteure-compositrice Laura Babin se produisait sur la scène Sirius XM de 22h à 23h.

King Abid

À 23h, King Abid transformait le Quartier des brasseurs de Montréal en piste de danse, une proposition reçue avec enthousiasme par la centaine de personnes venues l’entendre.

Yvon Krevé

Pendant ce temps, le rapeur Yvon Krevé déambula de long en large sur la scène Desjardins, faisant sans doute la promotion de la marche pour favoriser la santé.

Puis ce fut le retour à la maison pour la nuit.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14
  1re photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 640 — 210 mm
  2e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 320 — 210 mm
  3e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 210 mm
  4e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 320 — 115 mm
  5e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 210 mm
  6e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm
  7e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 800 — 210 mm
  8e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 2000 — 130 mm
  9e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 1250 — 56 mm
10e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 5000 — 210 mm
11e  photo : 1/100 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 180 mm
12e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 800 — 56 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel