La Société de transport de Montréal (STM) a dépensé plus de onze-millions de dollars depuis six ans pour nettoyer les graffitis, 46% de cette somme étant consacrée à ceux du métro.
Ce vandalisme est la preuve du peu de surveillance dont le métro fait l’objet.
Il est superflu d’installer des centaines de caméras des surveillance dans le métro si personne ne regarde en temps direct les images captés par ces caméras ou si on demande aux changeurs dans chaque station d’être à la fois des vendeurs de billets et des agents de sécurité.