De Montréal à Lisbonne

Le 27 mars 2018
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Ce court diaporama résume le vol Montréal-Lisbonne (avec escale à Amsterdam) effectué sur les ailes de KLM les 2 et 3 octobre 2016.

Jusqu’à 0:32, nous sommes dans le segment Montréal-Amsterdam. Puis, de 0:33 à 1:04, c’est le vol Amsterdam-Lisbonne.

Le reste du diaporama, c’est la course en taxi vers le studio que j’occuperai dans le plus vieux quartier de Lisbonne, soit celui d’Alfama.

Loué pour 58,96 $Can (ou 37 €) la nuit, ce studio est au premier étage d’un immeuble étroit donnant sur un parc.


Détails techniques : Ce diaporama contient 29 photos et trois clips vidéos réalisés à l’aide d’un appareil Olympus OM-D e-m5.

Les objectifs utilisés furent le M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (27 photos) et M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (2 photos).

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2 commentaires à De Montréal à Lisbonne

  1. sandy39 dit :

    Je suis en train de remettre de l’ordre dans vos voyages.

    C’était la première année mais alors, il n’y avait pas besoin de courir… vous aviez Rendez-vous sur un banc… par défaut d’avoir la bonne clef…

    Il était sympa aussi, ce studio, à deux assiettes…

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Une fois les formalités de la douane passées, le rendez-vous fixé pour la remise des clés n’était qu’une heure plus tard. D’où l’idée de prendre un taxi (à 20 €) qui non seulement me permettait d’arriver à l’heure, mais m’évitait d’escalader la colline d’Alfama avec mes bagages jusqu’au studio.

      En présence du propriétaire, la clé de la porte de l’immeuble fonctionnait très bien. C’est seulement au retour du restaurant, une fois le propriétaire parti, que les choses n’allaient plus. D’où l’attente de trois heures sur un banc du parc avant de pouvoir entrer dans l’immeuble.

      J’ai beaucoup aimé demeurer dans ce studio.

      À Lisbonne, on n’a pas besoin d’un moustiquaire; on peut laisser les fenêtres ouvertes toute la journée sans problème.

      Aperçu de mon studio

      Au son du gazouillis des oiseaux, je passais tous les matins à rédiger mes comptes-rendus de la veille, installé sur ma table de travail devant les deux grandes fenêtres ouvertes qui donnaient sur le parc.

      C’était charmant.

      L’après-midi, je visitais la ville.

      Au cours de la première moitié de ce voyage, je prenais le repas du soir au restaurant. Par la suite, j’ai pris l’habitude de le prendre au studio.

      Il comprenait alors presque toujours deux choses. Premièrement, une des nombreuses soupes aux légumes (toutes délicieuses) vendues à l’épicerie Pingo doce. Deuxièmement, une très grosse portion de poisson frais acheté quelques minutes plus tôt et cuit à l’étuvée avec les moyens du bord.

      Avec les moyens du bord, cela voulait dire que le poisson était cuit quatre minutes au microonde entre une assiette plate et une assiette à soupe. Cuit, il avait la consistance de pâtes al denté. Je le mangeais avec les doigts, accompagné d’un verre ou deux de vin blanc portugais… plus souvent deux, dois-je avouer. 😉

      Parfois, le tout était complété d’une ou deux pastéis de nata saupoudrées de cannelle et de sucre à glacer.

      Bref, ces vacances à Lisbonne furent un pur bonheur.

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