Les portes d’accès au Jardin de Chine

Publié le 29 mai 2025 | Temps de lecture : 1 minute
Portail de l’entrée principale

Il y a plusieurs manières d’accéder au Jardin de Chine du Jardin botanique de Montréal. Au sud-est du jardin se trouve son portail officiel.

Encadré d’une paire de dragons — à gauche, la femelle jouant avec son petit et à droite, le mâle jouant avec une balle — ce portail porte l’inscription ‘Jardin du lac onirique’.

Jardin intermédiaire

Ce portail donne accès à un petit jardin rectangulaire, limité par des murs blancs percés de fenêtres décoratives, qu’on quitte pour accéder au jardin principal par une porte ronde (ou porte de lune) portant simplement l’inscription ‘Accédez’.

Porte de lune

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet + objectif M.Zuiko 12-40&mm F/2,8 + filtre bleu FS KB20 + filtre vert jaunâtre FS VertX1a + filtre bleu 80b de Calumet
1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 17 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
3e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 30 mm

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4 commentaires à Les portes d’accès au Jardin de Chine

  1. sandy39 dit :

    L’infrarouge convient bien, aussi, sur de jolies robes… Les filles étaient, vraiment, vêtues de rose… long ou court…

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Je ne me rappelle plus quelle était la couleur des robes que portaient des jeunes femmes. Sur d’autres photos, prises avec les mêmes filtres, les vêtements des gens varient entre le blanc et des teintes de rouge ou de fuchsia.

  2. sandy39 dit :

    SUR UN ROSE INEXISTANT…

    C’est seulement hier soir que je me suis dit que les robes n’étaient peut-être pas rose !

    Pour la prise de vue : les filles étaient-elles d’accord ?

    … ET EPATANT !

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Ai-je obtenu la permission de ces jeunes femmes avant de les photographier ? La réponse est non.

      Dans ce cas-ci, j’ai attendu une vingtaine de minutes avant de prendre cette photo parce qu’il y avait toujours quelqu’un qui empruntait cette porte de lune. J’ai fini par prendre cette photo quand même, alors que j’étais bien visible, accroupi à quatre mètres devant elles.

      Le tabou de la photo sans consentement explicite remonte à une jurisprudence rendue il y a plusieurs décennies, à l’époque de la surenchère des juges à la création ou à l’élargissement de droits individuels.

      Selon cette jurisprudence, notre présence sur tout lieu public (y compris sur un site touristique achalandé) fait partie de notre vie privée.

      Cette jurisprudence est antérieure à la mise sur pied — par les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande — d’un réseau qui espionne tous nos courriels et tous nos appels téléphoniques, même les plus intimes.

      Comte tenu de cette érosion du concept de vie privée, on voit difficilement comment cette photo porte atteinte à la vie privée de ces deux jeunes filles.

      Ceci étant dit, je respecte toujours la volonté des personnes que je photographie lorsqu’elles me font savoir (y compris par le langage corporel) qu’elles refusent d’être photographiées.

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