Élections fédérales 2015 : comment voter dès maintenant

Publié le 21 août 2015 | Temps de lecture : 4 minutes

Le 19 octobre, les Canadiens éliront les dirigeants du pays.

Ceux qui le souhaitent pourront voter par anticipation une semaine plus tôt, soit du 9 au 12 octobre.

Les électeurs qui ne seront pas disponibles ni le jour du scrutin ni durant la période du vote par anticipation peuvent voter dès maintenant.

Aller au bureau local du Directeur du scrutin

Pour ce faire, vous devez connaitre le nom de la circonscription fédérale où vous habitez et vous rendre au bureau local du Directeur du scrutin.

Si vous savez le nom de votre circonscription, adressez-vous à votre député sortant — son nom se trouve facilement par une recherche sur l’internet — pour qu’il vous précise l’adresse de ce bureau. C’est ce que j’ai fait.

Si vous ignorez le nom de votre circonscription, attendez de recevoir un dépliant publicitaire d’un des candidats en lice. Ce dépliant devrait préciser son adresse électronique. Demandez-lui de vous indiquer l’adresse civique du bureau local du Directeur du scrutin.

Si vous ne désirez pas attendre de recevoir un tel dépliant, le gouvernement du Québec possède un outil en ligne qui vous permet de trouver le nom de votre circonscription provinciale à partir de votre code postal ou du nom de votre municipalité (voir dernière référence).

Une fois que vous connaissez ce nom, utilisez un moteur de recherche comme Google pour trouver les coordonnées de votre député provincial. Il devrait avoir la courtoisie de vous indiquer celles de son collègue au niveau fédéral.

Preuves d’identité

Pour voter, vous aurez besoin de deux preuves d’identité (dont une portant votre photo) et une preuve de résidence (par exemple, une facture d’électricité ou de téléphone).

Connaitre le nom exact du candidat

La date limite pour le dépôt des candidatures est le 28 septembre. Les noms de tous les candidats en lice ne seront connus qu’après cette date. De plus, pour des raisons de sécurité, les bulletins de vote ne seront dévoilés qu’au moment du vote par anticipation.

Donc, si vous votez dès maintenant, le bulletin de vote indiquera le nom de personne. Sur une simple ligne pointillée, vous devrez écrire le nom du candidat pour lequel vous désirez voter. Vous ne pourrez pas simplement écrire le nom d’un parti politique. Il est donc recommandé d’écrire à l’avance le nom du candidat sur un bout de papier que vous recopierez dans l’isoloir.

Au moment où j’ai voté, une seule personne avait présenté sa candidature, les autres partis n’ayant pas encore choisi leur représentant.

Vous pouvez voter pour n’importe qui. Mais si cette personne n’obtient pas l’investiture de son parti ou se désiste entretemps, votre bulletin de vote sera annulé au moment du dépouillement du scrutin.

Le dépouillement

Avant d’aller dans l’isoloir, on vous remettra le bulletin de vote et deux enveloppes. Dans l’isoloir, vous écrirez le nom du candidat de votre choix, insérer ensuite ce bulletin dans une première enveloppe numérotée, et insérer celle-ci dans une deuxième enveloppe anonyme.

Au sortir de l’isoloir, l’électeur dépose le tout dans la boite de scrutin.

Au matin du scrutin, le 19 octobre prochain, les préposés à l’élection ouvriront la deuxième enveloppe. Ils vérifieront le numéro que porte l’enveloppe intérieure et rayeront ce numéro du registre des votes par anticipation. Ils déposeront cette enveloppe numérotée (sans l’ouvrir) dans l’urne.

Le soir même, au moment du dépouillement du vote, les enveloppes numérotées seront décachetées et le bulletin sera lu comme tous les bulletins de vote pliés dans l’urne.

Référence : Élection fédérale canadienne de 2015

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Écrit par Jean-Pierre Martel


L’exercice, un moyen médiocre de maigrir

Publié le 17 août 2015 | Temps de lecture : 3 minutes

L’exercice physique est un excellent moyen d’améliorer la tolérance à l’effort. De plus, la libération d’endorphines par le corps contribue à un sentiment de bienêtre.

Mais est-ce un bon moyen de maigrir ?

C’est ce que pensent ceux qui proposent des diètes amaigrissantes traditionnelles, basées sur un bilan calorique négatif, c’est-à-dire qui veulent que l’obèse réduise sa consommation de calories et/ou augmente sa dépense énergétique.

De telles diètes donnent de bons résultats à court et à moyen terme mais sont généralement inefficaces à instaurer une perte de poids définitive; le sujet se révolte éventuellement contre le sadomasochisme qu’il s’est imposé volontairement et finit par reprendre tout le poids perdu.

Dire à un obèse : « Tu devrais faire de l’exercice », c’est l’équivalent d’une gifle. Dans l’esprit de nombreux obèses, cela revient à dire : « Tu es gros parce que tu es paresseux. »

Le Dr Dominique Garrel — endocrinologue au Centre universitaire de l’université de Montréal et spécialiste de l’obésité — précise que l’activité physique volontaire représente à peine 10% de la dépense d’énergie. En d’autres mots, 90% de notre dépense énergétique sert à l’accomplissement de nos fonctions vitales.

Selon ce spécialiste, l’état de la science indique qu’il n’y a pas de lien entre l’activité physique et la capacité de perdre du poids quand on fait une diète.

Il estime surtout qu’il est faux de penser qu’on peut maigrir sans changer ses habitudes alimentaires.

D’après le Dr Yoni Freedhoff — professeur adjoint à la faculté de médecine de l’université d’Ottawa — vingt ans d’études sur l’activité physique ont démontré que son effet était négligeable sur la perte de poids.

Celui-ci résume : « Dans une étude très rigoureuse, on a suivi des gens qui s’étaient mis à faire cinq à six heures d’activité physique par semaine, pendant un an. Mais à qui on avait demandé de ne pas changer leur diète. Résultat ? Ils ont perdu à peine 1kg pour les femmes, et 1,5kg pour les hommes. »

Pour revenir au Dr Garrel, celui-ci estime que la lutte contre l’obésité passe par une réduction de la consommation d’aliments sucrés.

Les personnes intéressées par ce sujet, sont invitées à lire Le fructose fait grossir, un texte que j’ai écrit en 2011.

Référence : Quand des spécialistes de l’obésité prennent la défense de Coca-Cola

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le défilé de la fierté gaie à Montréal

Publié le 16 août 2015 | Temps de lecture : 4 minutes
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Participation de la banque Toronto-Dominion
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Pour la première fois de ma vie, j’ai assisté cet après-midi au défilé montréalais de la fierté gaie. Celle-ci en était à sa 31e édition, devant une foule record de 290 000 personnes.

D’un côté, l’événement fut moins extravagant que je l’anticipais, mais beaucoup plus impressionnant par le nombre des organismes et des entreprises qui y ont participé.

Le défilé dura deux heures, par un dimanche chaud et ensoleillé.

À la tête, on avait placé les personnalités publiques.

À leur suite, on pouvait voir les représentants de divers organismes sans but lucratif qui viennent en aide au milieu homosexuel, mais également d’autres qui ont une vocation plus large.

Également représentés par des chars ou, de manière plus modeste, par des voitures décapotables : des partis politiques, des entreprises, des banques, des clubs sportifs, des Églises protestantes, etc.

Voici quelques photos qui vous donneront une idée de l’événement.

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Le GRIS-Montréal — ou Groupe de recherche et d’intervention sociale — est un organisme sans but lucratif dont la mission générale est de favoriser une meilleure connaissance des réalités homosexuelles et bisexuelles.

Il s’adresse principalement aux jeunes en milieu scolaire afin de leur offrir en priorité ses services de démystification de l’homosexualité et de la bisexualité, d’où cet autobus scolaire qui ferme la marche de ses participants.

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En arabe, ce qui se prononce helem signifie rêve.

HELEM-Montréal est un organisme à but non lucratif établi au Québec en février 2004, sans affiliation religieuse ni politique. L’organisme œœuvre à combattre l’homophobie au sein de la communauté libanaise de Montréal et à soutenir les homosexuels libanais ou arabophones de la ville.

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Au milieu de gratte-ciels dont l’érection est due à de vigoureux travailleurs québécois, la compagnie Pfizer présentait son médicament le plus connu.

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Sous le regard sévère des statues qui ornent le toit de la basilique Marie-Reine-du-Monde, quelques danseurs faisaient la fête sur le char de Spin-Énergie (un centre où se pratique le conditionnement physique sur vélo).

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La cathédrale du Christ de Montréal et l’église Unie St-Jacques le Majeur étaient également représentées.

Les bénévoles de cette dernière offraient gratuitement des câlins aux personnes de l’assistance qui en sentaient le besoin.

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C’est sous une pluie de confettis que les représentants de Jeunesse Lambda ont défilé. Cette association organise des rencontres et activités sociales pour les jeunes homosexuels de 25 ans et moins.

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Mado, le plus célèbre travesti du Québec, a accepté de poser pour ce blogue. Cet artiste possède un cabaret à son nom dans le Village gai de Montréal.

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Présents au départ du défilé parmi les personnalités publiques, le chef du Nouveau Parti Démocratique et son épouse se sont ensuite déplacés sur la tribune du char du NPD.

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Le Cocktail est un bar situé dans le Village gai. Il présente des spectacles de travestis du mercredi au dimanche. Le vendredi soir est réservé uniquement aux femmes.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 40-150 mm R (les 1re et 11e photos) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
  1re photo : 1/640 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 150 mm
  2e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm
  3e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 27 mm
  4e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
  5e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm
  6e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 21 mm
  7e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 15 mm
  8e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  9e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
10e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
11e  photo : 1/400 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 150 mm
12e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 31 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


L’écureuil contorsionniste

Publié le 15 août 2015 | Temps de lecture : 1 minute
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Le samedi matin est réservé à la lecture de mon édition de fin de semaine du quotidien Le Devoir.

Pendant que j’étais sur mon balcon à ce faire, un écureuil s’est réfugié dans le creux de cette branche afin de se livrer à un curieux exercice.

Était-ce sa manière de faire sa toilette matinale ? Je ne sais pas.

Mais comme mon appareil photo était à portée de la main…

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 135 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 135 mm


Pour consulter les textes de ce blogue consacrés au règne animal, veuillez cliquer sur ceci

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Sept lis

Publié le 14 août 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Variété inconnue
Lis doré du Japon
Lis oriental ‘Scheherazade’
Lis de Henry ‘Citrinum’
Variété inconnue
Lis ‘White Henryi’
Lis tigré

Les lis sont des plantes bulbeuses originaires des sous-bois — et plus rarement des prairies et des marécages — des zones tempérées de l’hémisphère Nord.

Elles sont abondantes en Chine et dans l’Himalaya.

Chaque bulbe donne naissance à une tige unique qui se termine par une fleur ou des bouquets de celles-ci.

Leurs fleurs sont dressées, penchées ou pendantes, souvent munies de pétales et de sépales très recourbés. Certaines adoptent même la forme d’un bonnet turc.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs Lumix 30 mm F/2,8 (la 1re photo), PanLeica 42,5 mm F/1,2 + filtre Hoya à densité neutre ND8 (les 2e, 3e et 4e photos), M.Zuiko 75 mm F/1,8 (les 5e et 6e photos) et Helios 85 mm F/1,5 (la dernière photo)
1re photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 30 mm
2e  photo : 1/3200 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
3e  photo : 1/1250 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
4e  photo : 1/320 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
5e  photo : 1/1600 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
6e  photo : 1/1250 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
7e  photo : 1/800 sec. — F/1,5 — ISO 200 — 85 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Marijuana : Harper radote

Publié le 13 août 2015 | Temps de lecture : 4 minutes

Il y a deux jours à Toronto, M. Steven Harper a promis que s’il était réélu à la tête du pays, son gouvernement accorderait davantage de ressources aux forces policières afin de traquer les producteurs clandestins de marijuana.

De plus, il a réitéré son opposition à la création de sites d’injection supervisés de drogues en dépit du fait que les études ont démontré que cela réduit la prévalence d’hépatite C et de VIH chez les toxicomanes.

Finalement, il commanderait des études destinées à prouver les effets néfastes de la drogue sur la santé mentale.

Il a reproché au Nouveau Parti Démocratique et au Parti libéral leur intention de décriminaliser la possession simple de marijuana et peut-être même de légaliser complètement sa production et son commerce.

Au Québec, cette annonce conservatrice est passée complètement inaperçue, probablement parce qu’ici, depuis plus d’une décennie, les policiers n’arrêtent plus personne pour possession simple (à mois qu’on leur envoie la fumée au visage).

De plus, tous les dimanches ensoleillés de l’été, les Tam-tams du mont Royal réunissent une foule autour du monument à Sir George-Étienne Cartier. On y joue de la musique alors que les lieux dégagent une curieuse odeur d’herbe brulée. Tout le monde le sait — c’est presque une attraction touristique — et aucun policier n’intervient.

Donc les ardeurs répressives de M. Harper n’inquiètent pas grand monde au Québec.

Mais connaissant la tendance à la « contrôlite » du premier ministre, il n’est pas exclu que des subventions fédérales à la ville de Montréal soient un jour assorties à la condition de réprimer la consommation de drogue.

On aurait donc tort de ne pas prendre au sérieux cette promesse conservatrice.

Aux États-Unis, les Républicains ont fait de la lutte à la drogue un de leurs thèmes électoraux pendant des décennies. Or leur guerre à la drogue est un échec total.

Après y avoir consacré, de 1987 à 1997, une somme de cinq cents milliards de dollars, après avoir construit d’innombrables prisons pour punir les vendeurs de drogue et leurs clients, après avoir gagné le record d’incarcération de tous les pays démocratiques, les États-Unis ont réalisé que cette coûteuse répression ne parvenait pas à faire fléchir le taux de consommation de drogues douces chez eux.

Récemment, certains États américains ont même complètement cessé la prohibition de la marijuana, déclenchant un affut touristique qui suscite la jalousie d’États voisins.

De nos jours, la majorité des Républicains eux-mêmes sont d’avis que tout cela fut un gaspillage monumental.

Aux Pays-Bas — où la marijuana est légale — les Hollandais sont parmi les plus faibles consommateurs européens de cette drogue, probablement parce sa consommation n’a plus l’attrait du péché défendu. Dans leur esprit, c’est une commodité pour touristes.

Les études scientifiques ont démontré que le goudron de la marijuana est plus cancérigène que celui du tabac. Mais lorsqu’on tient compte qu’il est rare qu’on fume vingt joints par jour, dans les faits, la marijuana est moins toxique que le tabac ou l’alcool.

Par contre, elle est susceptible d’aggraver des désordres mentaux déjà existants. Mais elle ne rend personne fou (à part quelques politiciens obsédés par elle).

Bref, M. Harper radote.

Mais pour les besoins de la discussion, supposons qu’il ait raison. En d’autres mots, supposons que les millions de dollars que M. Harper s’apprête à dépenser de plus fassent toute la différence, la question qu’on peut se poser est la suivante : pourquoi ne les a-t-il pas dépensé plus tôt ?

Il est au pouvoir depuis neuf ans, pourquoi a-t-il attendu tout ce temps avant d’accorder finalement aux forces policières les sommes qu’il leur faut pour protéger la population canadienne des graves dangers des drogues à Lucie Nojène… non, allo sino… non, voyons qu’est-ce que j’ai ? Al, halo… Ah, laissez donc faire.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau, à l’Astral

Publié le 12 août 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
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Les campagnes électorales donnent l’occasion aux politiciens de nous expliquer pourquoi nous devrions voter pour eux.

Libérés des tâches parlementaires, c’est aussi un temps où ils sont les plus disponibles à rencontrer les gens. Inversement, c’est une bonne occasion pour nous de les voir à l’oeuvre et de juger de leurs aptitudes, de même que d’avoir un aperçu de leur personnalité.

Le Parti libéral du Canada est dirigé par Justin Trudeau. Au bénéfice de nos lecteurs européens, c’est le fils cadet de l’ex premier ministre Pierre-Eliott Trudeau (aujourd’hui décédé).

La semaine dernière, j’ai reçu l’invitation du Parti libéral du Canada à assister une assemblée politique à l’Astral (une salle de concert au centre-ville). Cette rencontre avait lieu lundi dernier.

Fort de mon expérience avec les assemblées organisées dans le cadre de la course à la chefferie du Parti Québécois, je me suis présenté à l’Astral avec vingt minutes de retard, croyant que ces rencontres commençaient rarement à l’heure prévue.

Erreur : le Parti libéral n’est pas le Parti Québécois. À mon arrivée, la salle était déjà pleine et M. Trudeau terminait son discours devant une assistance enthousiaste.

J’ai donc attendu sa sortie pour prendre quelques photos dont celles-ci.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 75mm F/1,8
1re photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 800 — 75 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 1250 — 75 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Mon Dieu ! Déjà un demi-million de requêtes ?

Publié le 11 août 2015 | Temps de lecture : 1 minute

C’est le mardi 28 juillet 2015 — il y a deux semaines, exactement — qu’un visiteur a adressé une 500 000e requête à ce blogue.

Habituellement, je marque un tel événement d’une pierre blanche. Ce fut le cas à la 25 000e requête, à la 50 000e, à la 100 000e, et finalement à la 250 000e.

Mais voilà qu’au demi-million, rien. Suis-je rendu tellement blasé que quelques centaines de milliers de requêtes de plus ou de moins, cela me laisse maintenant indifférent ?

Pas du tout, au contraire.

L’événement m’a tout simplement paralysé. Que pouvais-je offrir aux lecteurs de ce blogue qui soit digne de leur fidélité et de leur confiance ?

Depuis une semaine, j’ai donc accéléré la cadence du traitement de mes photos de Paris afin de vous offrir non pas un, mais deux diaporamas consacrés à cette ville, plus précisément relatifs au quatrième arrondissement, mon préféré.

Au total, ces deux diaporamas contiennent 319 photos en haute résolution (dont cinq infrarouges) et sept clips vidéos.

C’est, je pense, une bonne manière de célébrer cette 500 000e requête.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Des hémérocalles : treizième série

Publié le 10 août 2015 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Ferris Wheel’
Hémérocalle ‘Rococo’
Hémérocalle ‘Black Arrowhead’
Hémérocalle ‘North Wind Dancer’
Hémérocalle ‘Skinwalker’
Hémérocalle ‘Orchid Corsage’
Hémérocalle ‘Black Ice’

Les hémérocalles-araignées se caractérisent par leurs longs pétales et leurs longs sépales légèrement bouclés (et dont les bouts sont plutôt pointus).

Pour être considérée comme telle, l’hémérocalle-araignée doit voir des pétales au moins quatre fois plus longs que larges.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 75 mm F/1,8 (les deux premières photos), Helios 85 mm F/1,5 (la 3e photo) et Panasonic Leica 42,5 mm F/1,2 + filtre Hoya à densité neutre ND8 (les autres photos)
1re photo : 1/1250 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
2e  photo : 1/800 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
3e  photo : 1/4000 sec. — F/1,5 — ISO 200 — 85 mm
4e  photo : 1/1000 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
5e  photo : 1/1600 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
6e  photo : 1/800 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
7e  photo : 1/800 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Des hémérocalles : douzième série

Publié le 9 août 2015 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Elizabeth Salter’
Une pause détente sur une hémérocalle
Hémérocalle ‘Ed Brown’
Hémérocalle ‘The Director’
Hémérocalle ‘Sloam Little Girl’
Hémérocalle ‘Thankful Song’
Hémérocalle ‘Sammy Russell’
Hémérocalle ‘Fairy Tale Pink’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Panasonic Leica 42,5mm F/1,2 + filtre Hoya à densité neutre ND8
1re photo : 1/1000 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
2e  photo : 1/800 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
3e  photo : 1/500 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
4e  photo : 1/1250 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
5e  photo : 1/1000 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
6e  photo : 1/640 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
7e  photo : 1/250 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
8e  photo : 1/500 sec. — F/1,2 — ISO 160 — 42,5 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel