Je débute la journée en visitant le musée de l’Orangerie. Celui-ci se trouve à l’extrémité sud-ouest du Jardin des Tuileries, ce grand jardin s’étendant à l’ouest du Musée du Louvre.
Aperçu des Nymphéas, de Monet
Détail des Nymphéas
Le musée de l’Orangerie est aménagé dans un édifice étroit et profond. Au rez-de-chaussée, on trouve deux salles elliptiques adjacentes qui forment le huit du symbole de l’infini. Sur 100 mètres, on y expose l’œuvre gigantesque Les Nymphéas que Monet a peinte de 1914 à 1926.
La Noce, d’Henri Rousseau
Au sous-sol, on présente les 145 toiles de la collection Walter-Guillaume, peintes de la fin du XIXe au début du XXe siècle. Se succèdent les Renoir, Cézanne, Picasso, Matisse, Utrillo, Soutine, Modigliani, etc.
Vitrine sur la rue St-Honoré
Item offert en vente
Puis je déambule sur la rue St-Honoré jusqu’à l’église Saint-Roch.
Façade de l’église Saint-Roch
Construite de 1653 à 1722, c’est une église de style baroque romain dont le ciel n’est peint qu’au-dessus du chœur.
Celui-ci se prolonge par la magnifique chapelle de la Vierge, œuvre Jules Hardouin-Mansart (un des plus grands architectes de Louis XIV).
Ciel de la coupole de la chapelle de le Vierge (L’Assomption (1749-1756), de Jean-Baptiste Marie Pierre)
Sont inhumés dans cette église, André Le Nôtre (créateurs des jardins du château de Versailles), le dramaturge Pierre Corneille, l’encyclopédiste Denis Diderot et le peintre Jean-Honoré Fragonard, entre autres.
Après un détour à la Défense pour y effectuer des achats, je rentre à l’hôtel pour la nuit.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs PanLeica 25 mm F/1,4 (la 3e photo), M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (les 1re, 6e et 7e photo) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 7 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 14 mm
3e photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 1250 — 25 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 22 mm
5e photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 28 mm
6e photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 9 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 7 mm
Pour lire les comptes-rendus du premier ou du deuxième voyage à Paris, veuillez cliquer sur l’hyperlien approprié.
Les talons hauts à 160 Euros : bel humour. :o)
Traitant d’humour, La Noce, photographiée alors qu’examinée par une spectatrice partiellement habillée style « empreinte digitale », mérite une mention.
Quant au reste, comme d’habitude, excellent.
HUMOUR JUSQU’AU BOUT DES PIEDS…
160 euros : c’est encore très correct pour être bien dans ses chaussures ! Pourquoi, vous trouvez cher ?
Il paraît que chez Vous, c’est très correct. Je tiens ça par quelques collègues de chasse de mon Mari : j’avais bien vu qu’il y avait le drapeau du Canada, sur certains pieds…
Il y a quelques années, j’ai acheté une paire de chaussures de marche (on dit, souvent, à la maison, de montagne) à ma fille, qui était déjà soldée mais vu qu’il y avait un pied plus clair que l’autre -décoloré à l’exposition au soleil, dans la vitrine- m’a coûtée encore moins cher !