Le Festival de jazz de Montréal — le 30 juin 2016

Publié le 1 juillet 2016 | Temps de lecture : 3 minutes

C’est le 29 juin que commençait le Festival de jazz de Montréal. Mais c’est aujourd’hui que je me suis décidé à y faire un tour, un peu par curiosité.

Il n’est pas nécessaire d’être un grand amateur de jazz pour apprécier le festival qui lui est consacré.

Si les spectacles payants en salle sont plus fidèles aux différents aspects de cette discipline, les spectacles extérieurs offerts gratuitement sont plus lâchement reliés au jazz.

De plus, on y rencontre des festivaliers détendus, qui apprécient autant la météo plaisante que les concerts qui leur sont offerts. Bref, c’est agréable d’y passer le temps.

Lucky Chops

Je suis arrivé sur le site un peu après 20h. Le groupe américain Lucky Chops était en vedette sur la scène Hyundai.

C’est un orchestre puissant où dominent les cuivres. Contrairement à mon habitude, j’ai résisté à la tentation de redresser la photo puisque telle quelle, celle-ci reflète l’énergie brute et la spontanéité de ces bêtes de scène (qui ont offert un très bon concert).

Fwonte et son public

Pendant ce temps, le Montréalais d’origine haïtienne Fwonte occupait la scène Turkish Airlines à y présenter son répertoire de hip-hop gorgé de rythmes tropicaux.

The Hot Sardines
Elizabeth Bougerol

La réputation du groupe new-yorkais The Hot Sardines, ici sur la scène Rio Tinto, était ce qui m’avait motivé ce soir à aller au festival.

C’est autour de la journaliste, comédienne, et chanteuse Elizabeth Bougerol (d’origine française) que s’est créé ce groupe spécialisé dans le jazz dansant de l’entre-deux-guerres.

Mes espions n’avaient pas tort : c’était effectivement un excellent spectacle.

À 21h, les festivaliers étaient sollicités par trois autres spectacles simultanés.

Francesco Yates

À 21, on pouvait entendre Francesco Yates sur la scène TD.

Né en 1995, ce jeune Ontarien m’avait surpris par son calme et son aplomb lors de son passage à l’émission Belle et Bum (la meilleure émission de musique contemporaine au Québec).

Il s’agit d’un bon interprète dont le répertoire, limité pour l’instant, manque un peu d’originalité.

Kenny ‘Blues Boss’ Wayne

Pendant ce temps, le pianiste Kenny ‘Blues Boss’ Wayne présentait le Honky-tonk et le Boogie-woogie entrainant de son dernier album sur la scène Bell.

Above Top Secret

J’ai quitté les lieux un peu après 22h, juste le temps de pendre une photo du trio hip-hop torontois Above Top Secret sur la scène Turkish Airlines.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150 mm F/2,8
1re photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 57 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 150 mm
3e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 75 mm
4e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 150 mm
5e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 73 mm
6e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 150 mm
7e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 50 mm


Cliquez sur 2016, 2015, ou 2012 pour consulter les reportages photographiques de l’édition du Festival de jazz de cette année-là.

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