Surprise ! Je suis à Paris.
La décision de prendre mes vacances dans la capitale française s’est prise en quelques secondes, il y a cinq semaines.
Après avoir échoué à obtenir un visa touristique pour l’Iran et pour la Turquie (cette dernière tout simplement parce que son site web n’accepte pas les paiements par la carte VISA Desjardins), j’ai décidé d’aller là où les Canadiens n’ont pas besoin d’un visa touristique.
Ce seront les troisièmes vacances annuelles prises dans la capitale française. Les précédentes remontent à 2003 et 2004.
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À Paris, il y a deux réseaux de transport ferroviaire urbain : le métro (duquel celui de Montréal est copié) et le RER (qu’on prononce en épelant chacune des lettres). Ce dernier est un métro express, desservant des stations plus éloignées les unes des autres.
Avant de prendre le RER pour Paris, je prends quelques instants pour acheter une passe autobus-métro. Mensuellement, cette passe coûte 76,10 euros pour les quartiers touristiques de Paris.
Sur le RER, je me surprends à conseiller la famille bolivienne Gumucio, de La Paz, venue passer quelques jours à Paris, sur les endroits à voir absolument. Les « Musts », comme on dit ici.
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La sortie du métro près de mon hôtel a conservé son décor Art nouveau imaginé par Hector Guimard en 1908.
En passant devant les restaurants du quartier, je suis surpris de constater que dans cette partie de Paris, le prix des repas n’a pas changé depuis une décennie. C’est toujours 12 à 14 euros pour deux plats: une entrée et un mets principal ou un mets principal et un dessert. Et le verre de vin est encore environ 4 à 5 euros.
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Après avoir pris possession de ma chambre et défait mes valises, il est environ 15h. Je vais manger à La Penderie, un restaurant à proximité. Une bonne portion de veau confit (extrêmement tendre), accompagné d’un verre de rouge, et précédé d’une salade au fromage de chèvre me coûteront 18 euros (service non compris).
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Puis je marche jusqu’à l’église St-Merri (un diminutif de Saint Meredic), achevée en 1552 mais dont les statues de la façade datent de 1842. C’est justement cette façade qu’on est en train de rénover, avant le réparer l’intérieur, sévèrement endommagé à la Révolution, restaurée au XIXe, et redevenu en piteux état de nos jours.
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Je visite ensuite le Centre Georges-Pompidou, situé à quelques pas de St-Merri. Dédié à l’art contemporain, ce musée est ouvert jusqu’à 21h aujourd’hui. Le droit d’entrée est de 13 euros. Les collections sont divisées par styles; on montre les différents mouvements qui ont façonné le milieu de l’Art aux XXe et XXIe siècles.
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Finalement, vers 20h, je prends le repas du soir aux Têtes brûlées. Une généreuse portion d’escalope de saumon et un verre de Chardonnay blanc me coûteront 17,80 euros.
Puis c’est le retour à l’hôtel pour la nuit.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 16 mm
2e photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
3e photo : 1/80 sec. — F/4,5 — ISO 20 — 12 mm
4e photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 12 mm
5e photo : 1/80 sec. — F/4,5 — ISO 6400 — 12 mm
6e photo : 1/160 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 12 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 17 mm
Pour lire les comptes-rendus du premier ou du deuxième voyage à Paris, veuillez cliquer sur l’hyperlien approprié.