De Montréal à Las Vegas
À l’aéroport de Montréal
J’ai toujours rêvé de voir le spectacle ‘O’ du Cirque du Soleil. Aussi ai-je sauté sur l’occasion lorsque ma sœur Monique m’a invité à séjourner dans sa maison californienne, précédé de deux jours à Las Vegas.
L’avion pour le vol Montréal-Las Vegas
Le vol direct Montréal-Las Vegas prend 5h20. Mais avec le décalage horaire, à l’heure locale, on arrive deux heures vingt minutes après l’heure du départ.
Sur les ailes de Rouge d’Air Canada, seul le bagage apporté à bord est gratuit. Des frais supplémentaires s’appliquent à tout bagage destiné à la soute de l’avion.
De plus, au cours du trajet, seuls l’eau, les jus et le café ou le thé sont gratuits. On doit payer le reste (y compris les repas).
Au cours des quinze dernières minutes du trajet, on survole le Nevada, l’État où est situé Las Vegas. Or le paysage semi-désertique de ce coin des États-Unis est à la fois varié et très photogénique. Si votre siège n’est pas du côté des hublots, vous envierez ceux qui y sont assis.
Vue intérieure du terminal 3
Dès le terminal 3 (dédié aux vols internationaux), quelques machines à sous accueillent les visiteurs qui bruleraient d’impatience d’y perdre leurs précieuses économies.
Navette de l’aéroport
Un mini-métro souterrain propre et efficace transporte les passagers du terminal 3 à la gare principale de l’aéroport.
Aéroport international McCarran
L’aéroport international McCarran (ci-dessus, dans le coin supérieur droit de la photo) est collé sur la ville. Mais les voies de circulation qui y donnent accès obligent des détours qui feront que le trajet vers votre hôtel (en taxi, en bus ou autrement) se fera en une vingtaine de minutes.
Entrée et cuisine d’une chambre de l’hôtel Vdara
Lit et fenêtre de sept mètres sur la ville
Salle de bain d’une chambre de l’hôtel Vdara
Le prix des chambres à Las Vegas varie non seulement d’un hôtel à l’autre, mais varie surtout d’un jour à l’autre, pour un même hôtel.
Pour celui qui désire séjourner dans cette ville, ces fluctuations énormes semblent obéir à des lois mystérieuses.
En réalité, les prix varient selon l’affluence. Mais on ne peut en juger que si on connait parfaitement ce qui se passe en ville.
En plus des spectacles permanents (comme ceux du Cirque du Soleil) ou des artistes en résidence (comme l’a été Céline Dion jusqu’à tout récemment), la ville accueille de grandes vedettes américaines pour un ou quelques soirs.
Lors de mon séjour, les groupes Aerosmith et Eagles, chacun de leur côté, sollicitaient les visiteurs, en plus la concurrence que leur faisaient les Golden Knights à l’aréna T-Mobile.
Chacune des parties de ce club de hockey attire 19 000 amateurs d’un partout dans la région.
Pourquoi aime-t-on à ce point le hockey en plein désert ?
Après avoir vaincu le scepticisme de la Ligue nationale de hockey et obtenu sa franchise, Las Vegas s’est rendue en finale dès la première année de leur existence. Ce qui a provoqué l’engouement immédiat pour ce sport.
D’autres villes du Sud-Ouest américain ont leur club de baseball ou de football, mais les Golden Knights forment, pour l’instant, la seule équipe de sport professionnel à Las Vegas.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (1re, 2e, 3e, 4e et 5e photos) et PanLeica 8-18 mm (les autres photos)
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 25 mm
2e photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 35 mm
3e photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
4e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 12 mm
5e photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
6e photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 9 mm
7e photo : 1/100 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 8 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 800 — 8 mm
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