On annonçait du temps ensoleillé pour aujourd’hui. Ce qui fut le cas. Mais en me levant ce matin, la ville était encore recouverte de brume.
Or la semaine dernière, dans un forum spécialisé sur l’internet, une personne avait demandé s’il était utile d’essayer de faire de la photographie infrarouge par temps couvert ou si c’était une perte de temps.
Quelle belle occasion d’en avoir le cœur net, moi qui ai l’habitude de faire de l’infrarouge par temps ensoleillé.
Sans prendre mon petit déjeuner, j’enfourchais mon vélo et prenais quelques dizaines de photos, dont celles-ci.
Elles ont été prises entre 7h35 et 8h36. Le soleil s’était levé à 7h12, mais était caché par un épais brouillard. Conséquemment, tout était un peu sombre. Il faisait environ 5°C.
En somme, c’était à peu près le pire temps pour faire de la photographie infrarouge.
Et pourtant…
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu FS KB20 + filtre bleu 80C d’Hoya
1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 18 mm
2e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 40 mm
3e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 19 mm
4e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 13 mm
5e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 23 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 24 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 17 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 32 mm
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Donc, c’était humide et, sans gruau dans le ventre !
Exactement !