Encore des pivoines

Publié le 13 juin 2021 | Temps de lecture : 1 minute
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Pivoine herbacée hybride ‘Raspberry Splash’
Pivoine de Chine ‘Shi-Pen-Kue’
Pivoine itoh ‘Smith Family Yellow’
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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 90 mm
3e  photo : 1/2500 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 62 mm
4e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
5e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Jonas dans la baleine — version moderne

Publié le 13 juin 2021 | Temps de lecture : 2 minutes

Jonas est ce personnage biblique qui, gobé par un grand poisson, y séjournera durant trois jours avant que ce dernier le recrache sur le rivage.

Puisqu’il existe peu de grands poissons capables d’avaler tout rond un humain, la légende veut que ce grand poisson fût une baleine.

Hier, le quotidien The Guardian relatait le cas d’un plongeur gobé vendredi dernier par une baleine à bosse.

Au premier abord invraisemblable, ce fait divers a été jugé plausible par non seulement ce quotidien britannique, mais également par CNN et The New York Times.

Que s’est-il passé ?

D’après ce que j’ai compris, le scaphandrier Michael Packard et le batelier Josiah Mayo forment un duo qui pêche le homard manuellement au lieu de se servir de casiers comme le font nos Madelinots.

Alors qu’ils avaient recueilli jusque là une cinquantaine de kilos de homard près des côtes de Provincetown (au Massachusetts), le plongeur se trouvait à environ quinze mètres de profondeur quand tout à coup, il a été gobé tout rond par une jeune baleine à bosse.

Pendant 30 à 40 secondes, il s’est trouvé dans le noir le plus complet.

La technique de chasse des baleines à bosse est simple; ils ouvrent toute grande leur gueule au milieu d’un banc de poissons puis rejettent l’eau qu’ils filtrent au travers de leurs fanons.

La très mauvaise vue de ces baleines explique sans doute pourquoi Michael Packard a été gobé par erreur.

Ce qui l’a sauvé, c’est que ces cétacés ont un œsophage d’environ quarante centimètres de diamètre; ils ne peuvent pas avaler de grosses proies.

La langue épaisse de l’animal ayant repéré le scaphandrier, le cétacé s’est dirigé vers la surface de l’eau pour l’expulser. Les palmes encore aux pieds, le plongeur a été propulsé hors de l’eau puis recueilli aussitôt par son coéquipier.

Après un bref séjour à l’hôpital, le plongeur en est sorti complètement rétabli de ses émotions.

Références :
Jonas
‘My God, I’m in a whale’s mouth’: lobster diver on brush with hungry humpback

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Écrit par Jean-Pierre Martel