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Les lanternes déployées cette année au Jardin de Chine sont d’abord nées de l’imagination de la conceptrice artistique québécoise My Quynh-Duong.
Ses croquis sont expédiés à Shanghai où des artisans, experts dans l’art séculaire des lanternes chinoises, lui donnent leur forme définitive.
Acheminées par bateau jusqu’à Vancouver et autrement jusqu’à Montréal, c’est dans la région montréalaise qu’on y ajoute le système d’éclairage par diodes électroluminescentes (communément appelées LED).
Ces séries des petites ampoules électriques réduisent de manière importante les coûts d’éclairage des lanternes.
Le système d’éclairage est québécois puisque c’est Transfotec International (ou Heico Lighting) — une compagnie de Saint-Eustache — qui possède la technologie la plus sécuritaire au monde à ce sujet. Leur système est appelé « TFT DEL Sans Contact ».
Comme son nom l’indique, il n’y a pas de contact électrique direct entre le fil qui conduit l’électricité et chaque série de diodes en parallèle. Ces dernières sont simplement déposées à la surface du fil et semblent alimentées par l’énergie électromagnétique dégagée par celui-ci.
L’absence de contact électrique élimine ainsi tout risque de court-circuit. Il s’agit ici d’un danger bien réel puisqu’il faut alimenter des objets lumineux qui pourraient tomber accidentellement à l’eau. Conscient de ce danger, le Jardin botanique de Montréal a donc choisi un système d’alimentation électrique particulièrement sécuritaire.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 12-35 mm F/2,8 (les 1re, 2e, 4e, et 6e photos) et objectif Voigtländer 25 mm F/0,95 (les autres photos)
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 21 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 35 mm
3e photo : 1/125 sec. — F/0,95 — ISO 320 — 25 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 35 mm
5e photo : 1/800 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
6e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 21 mm
7e photo : 1/500 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
8e photo : 1/200 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
Liste de tous les textes relatifs à différentes éditions de « Jardins de lumière »
A CHACUN SA LANTERNE…
Poursuite de notre voyage au cœur de la Nuit où nous nous dirigeons droit vers la Lumière, droit vers les éclairages des Lanternes…
J’espère que notre ballade se prolongera jusqu’à l’Aube, sans rencontrer d’autres obstacles que les Eléphants… Attention ! Prudence ! Nous pourrions nous faire assommer par… une trompe ! On ne sait jamais, cela doit être pire qu’une fessée !
Redevenons sérieux ! N’y-a-t-il que la Chine, spécialiste de ces Paysages éclairés, qui expose, chez Vous ?
Et la Chine doit bien payer une location de votre espace, pour ce type d’expositions ?
PETITES PRECISIONS DEGUISEES EN GRANDES CONFESSIONS : “Droit dans la Lumière” est certainement tiré du nouvel album de Monsieur Cantat dans son nouveau groupe “Détroit”, dont nous avons eu droit, hier, à une chanson entière de Lui, au bout de tant d’années dont le titre est “Droit dans le Soleil”. OUAH !
Toujours des mots qui collent à la peau et qui me font, à Moi, traverser… des Océans du Vide (Allez, on refait connaissance !)…
De quoi remplir les rivières de larmes…, entre Ombres et Lumières… et de quoi écrire des kilomètres de mots, à travers les Hémisphères, tout en gardant les pieds sur Terre, sachant que chacun de Nous a sa Magie pour s’exprimer et partager, et où celle-ci naît et prend racine (et des ailes, comme l’émission de Télé !) bien plus loin -elle découle, peut-être, des larmes que l’on verse, au cours de sa Vie- quand notre Esprit se donne les moyens de se détacher et de s’éloigner de notre propre Destin…
Quelles beautés !!!! La Chine, elle m’émerveillera toujours.
P.S.- Je vais vous en conter une bonne… Une madame occidentale était à l’hôpital pour donner naissance. Son époux dit que le bébé a les yeux comme les Chinois. Elle lui répond: Tu sais chéri, mon boss à l’ouvrage était un Chinois, et moi j’ai le regardé trop souvent dans les yeux. Merci pour m’endurer.