S’il y a une chose que la pandémie au Covid-19 devrait nous avoir apprise, c’est l’importance des néoQuébécois et des travailleurs étrangers.
Sans ces travailleurs mexicains qui, chaque saison des récoltes, viennent au Québec accomplir les tâches agricoles les plus épuisantes à cueillir ce que la machinerie lourde est incapable de faire, nous aurions manqué de certains aliments frais.
Un grand nombre de nos vieillards seraient morts par manque de soins sans ces immigrants ‘illégaux’ qui n’ont trouvé d’emplois que dans les zones rouges de nos établissements de santé à effectuer des tâches que plus personne n’était en mesure d’accomplir.
Combien de restaurants ont survécu aux confinements grâce à des gens issus de l’immigration qui ont accepté d’être sur la route à livrer des repas plutôt que de rester chez eux à subsister grâce à l’aide gouvernementale ?
Tous ces gens nous ont rendu service et ont sauvé des vies.
En temps normal, personne ne parle d’eux. Ils représentent ces mains invisibles qui aident à tisser les liens de solidarité sur lesquels repose notre cohésion sociale.
Aujourd’hui, c’est à eux que je dis : Bonne Saint-Valentin et merci…
Complément de lecture : Bonne Saint-Valentin
Quelques déclarations cachées sous quelques déviations m’ont troublé la semaine d’après la Saint valentin.
On s’est loupé avec mon Aînée pour une consultation. Nous avons, donc, fait, 100 kilomètres de trop, nous trompant de jour, croyant que le 17 était le Mardi !
Mais, qu’ont-ils, donc, tous, dans cette famille, de compter sur Moi ?
Mais, Moi, j’étais persuadée, depuis la semaine d’avant, que le 17 était Mardi… et, pourtant, c’était bien écrit sur mon calendrier ! Alors, je ne sais pas ce qui aurait pu, énormément, me troubler…
Puisqu’Ici, chaque mot exprime, à lui seul, un peu tous nos manques… et, puisque personne ne parle de Nous…, auriez-vous, manqué d’un morceau de Comté ?
Nous n’en avons pas manqué même si, pendant le Confinement, je suis allée, à la Fruitière de mon village, où nous avons été, mon Mari et Moi, déçus du goût. Et oui, ma fruitière habituelle n’était ouverte que le matin et, j’avais rendez-vous, à l’Homéopathe, l’après-midi !
Non, mais, il n’y a pas que le fromage… et, je ne vais pas, Ici, vous en faire tout un plat !
Au Printemps, sur un marché, on m’avait dit qu’il n’y avait pas eu de cueilleurs pour les fraises… parce que soit-disant, trop près des uns des autres. Alors, l’an dernier, je n’en ai pas fait de confiture.
Mais, j’ai fait de l’abricot, de la cerise, aussi. Cette dernière, un peu trop liquide, va parfaitement bien, avec un yaourt ou un petit suisse nature.
Les clafoutis aux cerises, je réussis bien, aussi.
Tout ça, en Juin, pendant le Déconfinement, pas toujours facile, avec un nouveau chat, dans les pieds et, peu de place pour poser dans notre cuisine… et, j’avais le carreleur, à manger…